• votre commentaire

  • votre commentaire

  • votre commentaire
  • لم يتم استقبالهم من طرف المسؤولين

    الأساتذة الموقوفون يعتصمون أمام مديرية التربية للجزائر غرب


     

     

    نفذ أمس أساتذة الجزائر غرب الموقوفين من طرف الوظيف العمومي منذ تاريخ الثالث سبتمبر الفارط، وعيدهم بالاحتجاج أمام مقر مديرية التربية بالجزائر، غير أن الاعتصام فشل في تحقيق مطالبهم بسبب رفض الإدارة استقبالهم.

    واكتفت إدارة مديرية التربية غرب بالتأكيد للمحتجين الذين تنقلوا إلى مقرها أمس أن ملفاتهم أحيلت على الوصاية للنظر فيها، وهو ما أثار سخط هذه الفئة وعبرت عن استنكارها لـ”التلاعب” بقضيتهم.

    وقرر هؤلاء الأساتذة مواصلة الاحتجاجات إلى غاية استرجاع مناصبهم التي تم تحويلها لصالح أساتذة آخرين، ومن المقرر أن ينظم هؤلاء اعتصاما آخر أمام مقر وزارة التربية بالمرادية خلال الأيام القليلة المقبلة، حيث يجري حاليا التنسيق مع باقي الولايات لتنظيم اعتصام موحد.

    وحذر المحتجون وزارة التربية الوطنية من التنصل من مسؤولياتها في تسوية وضعيتهم رغم وعود المسؤول الأول عن القطاع الوزير عبد اللطبيف بابا أحمد بتاريخ 23 سبتمبر الفارط بإنهاء معاناتهم وتسوية وضعيتهم.

    وكان مدير التربية لغرب العاصمة ساعد زغاش قد اعترف بشرعية ملفات المحتجين، ما يعني أن قرارات توقيفهم غير قانونية.

    غنية توات


    votre commentaire
  • Il a appelé pour des actions de protestation

    Le CLA se démarque de la prochaine tripartite

    Par : Malika Ben

    Les rendez-vous de la tripartite de l’année en cours se résument en une simple opportunité pour lancer des actions de protestation par des syndicats autonomes qui réclament toujours leur droit d’y siéger.

    “Pour que nos revendications soient prises en considération et pour faire valoir nos droits, le CLA appelle tous les travailleurs à observer une journée de protestation, le jour même de la tenue de la tripartite, ainsi que des rassemblements dans les différentes wilayas du pays.”
    Le Conseil des lycées d’Algérie, connu pour sa position très critique par rapport à la tripartite qu’il a toujours considérée comme “un non-événement” car sans grand impact pour le simple travailleur, lance un appel “à l’ensemble des syndicats autonomes” pour se joindre à cette action. La décision de marquer la prochaine tripartite par une large action de contestation sociale a été prise à l’issue de la réunion du bureau national du CLA autour de ce rendez-vous, explique un communiqué signé par le porte-parole. Et de justifier cette nouvelle montée au créneau par “l’exclusion, une fois encore,  de l’ensemble des syndicats autonomes de la tripartite, pour les empêcher de défendre les droits des travailleurs de la Fonction publique”. Pour le syndicat du défunt Redouane Osmane, le fait de faire de l’abrogation de l’article 87 bis un des principaux points de la tripartite n’est pas fortuit. “C’est uniquement pour détourner l’attention des dossiers importants, tels que la réforme de la retraite et le droit syndical (vente concomitante)”. Pis, le CLA prédit déjà que les résultats de la rencontre “unipartite” ne seront pas en faveur des travailleurs, “au contraire, ils remettront en cause des droits déjà acquis”.  
    Toujours est-il que cette position hostile n’empêche pas le CLA de faire une série de revendications sociales à même d’améliorer le pouvoir d’achat des travailleurs. Le syndicat des enseignants de lycée réitère sa demande d’augmentation du SNMG à 45 000 DA avec valorisation du point indiciaire et l’adoption d’une politique salariale flexible adaptée aux prix pratiqués sur le marché en vue de garantir le pouvoir d’achat des travailleurs. Pour ce qui est de l’article 87 bis, le CLA propose sa révision ou l’élaboration d’une nouvelle loi relative au SNMG. Autres revendications : la révision du statut général de la Fonction publique, une retraite à 100% avec réduction du nombre d’années exigées, respect des libertés syndicales et du droit à la grève, encourager l’investissement public et productif et l’amélioration du service public. À rappeler que ce n’est pas la première fois que des syndicats de l’éducation se démarquent de ce rendez-vous traditionnel. Au mois de février dernier, un autre syndicat de l’éducation nationale, en l’occurrence celui des corps communs SNCCOPEN, avait lancé un appel pour “une journée de deuil national” le jour de la tripartite.

    Malika Ben


    votre commentaire


  • Actualités : L’Unpef dans l’attente de la concrétisation des promesses
    Fragile trêve dans l’éducation


    Trêve fragile dans le secteur de l’éducation. L’Unpef, qui a finalement annulé la grève prévue lundi dernier, fixe un ultimatum au ministère de l’Education. A la fin du mois de décembre, le syndicat évaluera l’état d’avancement des revendications transmises à la tutelle et décidera de la position à adopter.
    Nawal Imès- Alger (Le Soir)

    Le ministre de l’Education a réussi à éviter un énième mouvement de protestation dans le secteur. Baba Ahmed a pris les devants pour éviter le scénario d’octobre qui avait vu le Cnapest entrer en grève renouvelable qui avait duré une dizaine de jours.
    En promettant à l’Unpef une rapide prise en charge de leurs revendications, le ministre de l’Education aura finalement permis au premier trimestre de s’achever dans la sérénité d’autant que les élèves des trois paliers sont en pleins examens de fin de trimestre. Mais pour l’Unpef, ce n’est que partie remise.
    En expliquant à ses adhérents les raisons qui l’ont poussée à renoncer à la grève, l’Unpef leur a cependant donné rendez-vous à la fin décembre pour une évaluation objective des réponses qu’aura données le ministère de l’Education.
    Le syndicat de Sadek Dziri met en tête de ses revendications, l’intégration des enseignants du primaire ayant plus de dix ans d’expérience aux grades prévus par le statut particulier.
    Le ministère de l’Education s’est dit favorable à ce reclassement qui devrait concerner, avant l’échéance du 31 décembre, les enseignants du primaire ayant bénéficié de formations dans le cadre des accords entre le département de Baba Ahmed et celui de l’enseignement supérieur en plus de ceux détenteurs d’une licence. L’Unpef a également demandé à ce que soit ouvert le dossier des catégories qualifiées de «en voie de disparition» dans le statut particulier. Pour ces derniers, la tutelle s’est dit engagée avec d’autres parties, notamment la Fonction publique afin que les années d’expérience puissent servir à leur reclassement. La même réponse a été fournie au sujet des professeurs de l’enseignement technique qui exigent leur classement comme principal ou formateur.
    Le syndicat a également demandé à ce que les enseignants des trois paliers puissent bénéficier des promotions au grade de formateur et de principal et a formulé le vœu de voir les concours les concernant gelés jusqu’à ce que la situation de l’ensemble des enseignants soit assainie pour leur permettre à tous d’en bénéficier.
    L’Unpef a également exigé que soient rétablies dans leurs droits des catégories du secteur qui ne bénéficient pas de certaines primes.
    Des demandes et des réponses consignées dans un procès-verbal sur la base duquel le syndicat compte, dès fin décembre, faire le point avant de décider des suites à donner aux réponses de la tutelle
    N. I.

     


    votre commentaire
  • Régions : Le Soir du Centre BOUIRA

    Le siège du FNPOS pris d’assaut Depuis plusieurs semaines, c’est la ruée vers l’or à Bouira. Destination : l’antenne FNPOS de Bouira dont le siège régional se trouve à Tizi-Ouzou. Chaque jour, des dizaines de personnes se rassemblent devant l’antenne dans l’espoir de déposer un dossier pour postuler à l’une des aides que le FNPOS proposerait aux bénéficiaires de l’habitat rural et autres LSP. D’après certains postulants rencontrés sur les lieux hier, ces aides sont de l’ordre de 500 000 DA non remboursables, et concernent tous les bénéficiaires d’une aide à l’habitat rural ayant achevé leurs habitations et ceux du LSP et prouvant, dossier à l’appui, leurs cotisations à la Cnas pendant au moins dix ans. D’autres présents nous disent que les montants de ces aides varient entre 150 à 250 000 dinars, selon le salaire de chaque postulant. Nous n’en saurons pas plus sur cette opération puisque le portail principal était barré par des dizaines de personnes agglutinées devant, dans l’espoir de remettre leurs dossiers à l’agent à travers les barreaux. Cela dit, à l’extérieur la colère des postulants était indescriptible. Certains d’entre eux étaient là depuis trois heures du matin mais avec l’anarchie qui règne devant le portail de cette antenne, ils n’osaient plus s’y rapprocher, se contentant de nous prendre à témoin devant ce spectacle désolant. Ahmed qui venait de Haizer était arrivé à six heures du matin, mais il était étonné de trouver une liste de 206 personnes déjà inscrites. Durant les premiers jours, la liste était respectée et les dépôts de dossier se faisaient selon cette liste établie. Mais au fil des jours, certains jeunes chômeurs du quartier en ont fait une affaire juteuse. Ils faisaient payer des gens à 400 dinars pour les porter sur la liste durant la nuit sans que la personne concernée n’ait à se déplacer ou se réveiller très tôt. Cette méthode a montré ses limites au bout de quelques jours puisque les jeunes du quartier faisaient payer tout le monde et les gens qui arrivent le matin, trouvent leurs noms mais mal positionnés. Et puis, dans l’anarchie régnante, l’agent préposé au guichet de cette antenne n’arrive plus à traiter tous les dossiers. C’est à peine si une dizaine de dossiers est acceptée durant la journée. Le pire dans cette histoire est que le dépôt des dossiers ne se fait pas chaque jour mais uniquement les lundi et mercredi. Aussi, tous les postulants que nous avons rencontrés sur place, étaient unanimes à dire, que le FNSPOS gagnerait en efficacité si ses responsables décidaient à ouvrir des antennes dans chaque daïra, et ce, afin d'alléger la tension et mettre à l’aise les postulants dont beaucoup nous ont affirmé qu’ils sont obligés de prendre des congés de maladie pour venir déposer le dossier. Cela étant, et pendant que le nombre de postulants à cette aide va en grandissant, personne ne sait exactement si cette opération a une durée limitée dans le temps ou ouverte. C’est ce qui pousse les gens à se bousculer devant cette antenne.

    Y. Y.


    votre commentaire
  • لجنة الخدمات الاجتماعية تؤكد توفر أموال متقاعدي 2010 والوزير لم يرخّص لصرفها

    تقليص سلفات السكنات للأساتذة إلى 20 مليون سنتيم

     

     

    أعطت اللجنة الوطنية للخدمات الاجتماعية لقطاع التربية الضوء الأخضر للجان الولائية عبر مختلف ولايات الوطن للتصرف في قروض السكنات التي ينتظر أن تبدأ عمليات استلام ملفات الأساتذة الخاصة بها خلال شهر ديسمبر المقبل، وذلك عن طريق تخفيض قيمة القرض من 50 مليون إلى 20 مليون سنتيم. وفي المقابل تنتظر اللجنة الضوء الأخضر من وزارة التربية لصرف منح المتعاقدين لسنة 2010 بعد أن أكدت أن الأموال موجودة، وما على الوزير إلا تقديم رخصة لذلك.

    وحسب المعلومات التي تحصلت عليها ”الفجر” من اللجنة الوطنية للخدمات الاجتماعية لقطاع التربية، فإن صرف قروض الخاصة بالسكنات ستكون حسب عدد الطلبات، واستجابة للعدد الهائل منها تقرر خفض قيمة القرض، والذي تبلغ قيمته الحالية 50 مليون سنتيم، وقد يصل التخفيض إلى 40 مليون و30 مليون وحتى إلى 20 مليون سنتيم.

    وأوضحت مصادرنا أن اللجان الولائية لها حرية التصرف من اجل استفادة الجميع من هذا النوع من القروض التي ينتظر أن تشرع هذه اللجان في استلام ملفات الراغبين من عمال قطاع التربية بداية من شهر ديسبمبر، أي فور اتمام عملية ضبط قروض السيارات التي    وصلت إلى اخر مراحلها والتي تخص 4 آلاف سيارة.

    واستفاد العمال المنضويون تحت قطاع التربية من امتيازات في سلفة شراء السيارة المقدرة بـ500 ألف دج للموظف وكانت قبلا 30 مليون سنتيم، وحدد الاقتطاع الشهري 10.000 دج لمدة 50 شهرا، ومبلغ 480.000 دج للعون”، ويكون الاقتطاع الشهري 8000 دج لمدة 60 شهر”.

    وسمحت اللجنة الوطنية للخدمات الاجتماعية للأساتذة والعمال المقبلين على التقاعد، والذين وضعوا ملفاتهم لدى اللجان الولائية للاستفادة من سلفات لشراء السيارة، في تعليمة وجهتها لمختلف اللجان الولائية، وذلك بعد أن أقصيت هذه الفئة نظرا لعامل السن في البداية. ولا تزال ملفات الآلاف من عمال القطاع الخاصة بالسداسي الثاني لسنة 2010 عالقة، ولم يفصل فيها إلى حد الساعة وفق اللجنة الوطنية للخدمات الاجتماعية لقطاع التربية، والتي أكدت أن ”الملفات العالقة هي على عاتق وزارة التربية”، بالنظر إلى أن اللجنة لا تملك ميزانية تلك الفترة وكل ما يتعلق بتلك الأموال، وكيفية صرفها موجودة في الأرشيف المتواجد لدى وزارة التربية، والذي لم تطلع عليه اللجنة، على حد قول المصادر ذاتها بحجة أن الوزارة تنتظر تفعيل اللجنة الحكومية التي لم تحدد تاريخها لحد الساعة.

    وتتعارض تصريحات اللجنة مع تصريحات وزير التربية عبد اللطيف بابا أحمد الذي أكد في تصريحات سابقة أن الأمر هو في يد اللجنة، وهو ما تنفيه هذه الاخيرة، وقالت إنها تنتظر الضوء الأخضر من المسؤول الأول لقطاع التربية من أجل صرف الأموال المجمدة منذ 2010، موضحة أن ”ميزانية هذه السنة صرفت بنسبة 80 بالمائة، وبقي منها 20 بالمائة وهي موجودة”، حسب مصادرنا من اللجنة الوطنية للخدمات الاجتماعية       التي دعت الوزير إلى منحها     الرخصة لصرفها. وفي السياق ذاته، رفضت اللجنة مقترح صرف منح متقاعدي 2010 من ميزانية 2013، وأكدت أن القانون يمنع ذلك، كما يمنع تطبيق الأثر الرجعي، مشيرة إلى أنها عمدت إلى صرف منح التقاعد المتعلقة بملفات جانفي وأوت 2013، كما أنها قامت بصرف منح للمتزوجين، وذلك أمام تأكيد اللجنة أن حقوق متقاعدي 2010 حتى وإن توفي أصحابها، حيث سيستفيد منها أولادهم وأقاربهم.

    غنية توات

     

    التعليقات

    moh : tlemcen
    اليسارة 50 مليون و السكن 20 مليون السيارة أهم من السكن ؟؟ ياخي حالة أم لأن لا يوجد فيها التبزنيس ؟؟؟
    moh : aljazeir
    باي ذنب قتلت ( باي ذنب تخفضون قيمة سلفة البناء؟ وهل سلفة السيارة اولى من السكن..؟
    sammou : bouira
    franchement c'est incroyable!!!on donne la priorité au crédit de voiture alors que la plupart des enseignants sont sans logement vu le prix élevé de ce dernier.le crédit du logement doit etre plus important que celui de la voiture

    votre commentaire
  • Avis de la CNOSTE 

    la CNOSTE services de Santé  informe ses collègues employés de l'éducation nationale qu'elle a signé une convention avec le Centre Hospitalier contre le Cancer à Blida. Alors toutes personne intéressée doit se présenter auprès de La Cnoste pour retirer la décharge sanitaire et  la demande de rendez-vous. Pour plus d'information prière de contacter Monsieur Zahouani Bougueffa  ( zahouani.bou@gmail.com)

    إعلان

    تعلن اللجنة الوطنية للخدمات الاجتماعية لعمال التربية الوطنية لقطاع التربية  الوطنية قسم الخدمات الصحية عن تعاقدها مع عيادة أمراض السرطان  بالبليدة لذا نطلب من زملائنا الكرام الذين  يهمهم الأمر التقرب من اللجنة الوطنية من أجل الحصول على بطاقة العلاج و إستكمال إجراءات الحجز

     

    COORDONNEES:

    CENTRE RADIOTHERAPIE ONCOLOGIE

    RUE 29 N°10, OULED YAICH-BLIDA

    TEL/FAX: 025 43 47 76

    MOB: 0557 67 68 10

    E-MAIL: CENTRE.RADIOTHERAPIE.ONCOLOGIE@GMAIL.COM

     


    votre commentaire

  • votre commentaire

  • votre commentaire
  • TIZI-OUZOU

     

    Retard dans le versement de la prime

    de départ à la retraite

     

     Les nombreux personnels de l’éducation                       

    nationale, partis en retraite depuis fin 2011,

    dans la wilaya de Tizi Ouzou, attendent

    impatiemment de percevoir leur prime de

    départ en retraite. Les retraités partis entre

    2010 et 2011 ont perçu une première tranche

    estimé à 25 millions de centimes. Le siège des

    œuvres sociales de l’éducation situé au

    niveau du CEM Derdar, à la sortie est de Tizi

    Ouzou, fait souvent l’objet d’une affluence

    nombreuse des personnes concernées par

    cette prime, qui investissent chaque jour les

    bureaux de l’administration des œuvres

    sociales pour s’enquérir des raisons du retard

    dans le versement de cette prime. Les

    retraités repartent chaque jour avec la même

    déception car les réponses qu’on leur donne

    sont loin d’être convaincantes et parfois

    même elles sont empreintes de mépris. “Il n’y

    a pas d’argent”, “Les primes seront versées

    dans un mois”, “C’est pour bientôt”... Des

    réponses qui sont loin de convaincre les

    retraités qui n’ignorent pas que les oeuvres

    sociales de l’éducation sont très riches, allant

    jusqu’à verser des sommes faramineuses aux

    enseignants en activité soit pour l’achat d’un

    véhicule, pour la construction d’une

    habitation, faire un pèlerinage ou une Omra...

    Si dans certaines wilayas les versements de la

    prime de départ ne concernent que les

    retraités de 2013, à Tizi Ouzou, même ceux de

    2011 ne sont pas encore réglés. Ce retard est

    jugé inadmissible autant par les retraités que

    par les personnels en activité qui considèrent

    qu’en fin de compte, rien n’a réellement

    changé dans la gestion des oeuvres sociales

    qui ont défrayé la chronique par l’opacité de

    la gestion qui y a prévalu depuis plusieurs

    années. Les responsables des oeuvres sociales

    n’ignorent pas que de nombreux retraités ont

    été très fortement “usés” par des années de

    labeur dans le secteur de l’éducation.

    Faudrait-il attendre de voir “disparaître” à

    jamais tous ces enseignants pour enfin leur

    verser leur dû ?

     

    C. NATH OUKACI


    votre commentaire
  •                                                                                      ETAT DES LIEUX

                                               Les demandeurs ou les bénéficiaires de prêts (logements, voitures) se demandent quand auront lieu les virements  et  les réceptions de leurs voitures. Pour ce qui est des prêts de 5o M, il faut rappeler que les cwos sont réduites à des caisses enregistreuses  dans la mesure où elles dépendent de la CN à cent pour cent. C’est  cette dernière qui  décide du nombre de prêts à distribuer et de leur opportunité. Depuis juin 2013, l’opération achat de véhicules bat son plein avec ses hauts et ses bas. Les conventions signées avec  Peugeot, Renault et autres sont du ressort de la CN. Les cwos ignorent tout de ces conventions. Pourquoi cet intérêt démesuré pour les véhicules ? Le logement n’est-il pas prioritaire devant la voiture ? A moins que les décideurs des œuvres sociales considèrent la voiture comme un logement à moteur !

                                                 Les délais de livraisons, les remises éventuelles et les clauses en général de ces accords sont comme des secrets d’état. Je lance un appel à toutes les personnes qui en connaissent  un bout de me faire part afin de le porter à la connaissance des travailleurs de l’éducation. Le travailleur bénéficiaire d’un véhicule est tenu de verser la somme complémentaire (le prix du véhicule moins 50 briques) dans un délai d’une semaine. Dans la même semaine, des sommes colossales sont englouties par Peugeot, Renault et consort. Au retour, le bénéficiaire n’a aucune idée sur le délai de livraison. Il est livré pieds et poings liés à ces firmes dont la seule loi qu’elles  respectent est celle du commerce. Des bénéficiaires  de voitures ont rapporté des faits qui en disent long sur la gestion de ce dossier par la CN. Les faits en question sont  des coups de téléphone  ou de simples SMS de la part des firmes conventionnées demandant  des versements complémentaires  pour acquérir un autre véhicule disponible autre que celui commandé qui pourtant figure sur la listes des véhicules disponibles. Cette arnaque a un nom : la publicité mensongère. Un bénéficiaire  s’est rendu compte, en arrivant chez lui, que le véhicule dont il vient de prendre possession n’est pas identique à celui de sa commande. Un autre bénéficiaire qui attend depuis juin la livraison de sa 208 est allé se renseigner chez Peugeot  et apprend  que pour  les clients ordinaires la livraison d’une voiture comme la sienne est disponible dans les quinze jours qui suivent la commande! Un autre se voit livrer un véhicule sans la climatisation qu’il a pourtant payée. Les cas sont trop nombreux pour être cités.   A quoi servent les 5o M de prêt si entre le versement du(ou des) complément(s) et l’acquisition du véhicule vous dépensez autant en frais  supplémentaires de tout genre : stress, médicaments, mépris, etc… ? Ce qui est aussi aberrant est l’exclusion  des bénéficiaires de toutes les promotions actuelles quand bien même ils attendent la livraison de leurs véhicules depuis six mois. Ils sont en droit d’attendre des compensations pour toutes les insuffisances précédemment citées.

                                                  

     


    7 commentaires
  • أساتذة يشترطون على
    تحفيزات مادية مقابل وقف الدروس الخصوصية

    اشترط أساتذة ومعلمون على وزير التربية، منحهم “تحفيزات مادية” مع نهاية كل فصل دراسي، مقابل التوقف عن تقديم دروس خصوصية للتلاميذ. وأفاد أساتذة في فيديو مسجّل، بتقنية المحاضرة الرقمية، أشرف عليها وزير التربية منذ أيام، أن ظاهرة الدروس الخصوصية لن تزول إلا بتحسين الأوضاع المادية لهيئة التدريس، في وضع يوحي أنّه ابتزاز.

     يبدو أنّ ظاهرة الدروس الخصوصية فتحت أبواب جهنّم على وزير التربية، فتحوّلت إجراءات القضاء عليها إلى “ابتزاز” يمارسه أساتذة ومعلمون تحت غطاء نقابي، وقد تجلى هذا الانطباع في طلبات صريحة أدلى بها معلمون في فيديو مصوّر بتقنية المحاضرة الرقمية في إطار ندوة جمعت وزير القطاع عبد اللطيف بابا احمد مع مديري التربية وممثلين عن أولياء التلاميذ وأساتذة (يمثلون نقابات) وهيئة التفتيش، طالبوا بتحفيزات ومكافآت مالية مقابل وقف الدروس الخصوصية. ويظهر في الفيديو المسجّل، تحصلت “الخبر” على نسخة منه، أساتذة ومعلّمون يشتكون من ضعف أجورهم وعدم الاعتراف بمجهودات هيئة التدريس نظير الخدمات التي يقدّمونها، وطالبوا مباشرة من وزير التربية الذي كان يستمع إليهم رفقة الأمين العام للوزارة، بإقرار مكافآت مالية وتحفيزات مادية تمنح للمعلمين والأساتذة مع نهاية كل فصل وأيضا عند الانتهاء من السنة الدراسية إذا أرادت مصالحه القضاء على ظاهرة تقديم الدروس الخصوصية، وكذا النزول إلى المدارس للحصول على المعطيات الحقيقية لعدم اقتناع التلاميذ بما يقدّم لهم في المؤسسات التربوية العمومية. وقال الأساتذة إن التحفيزات المالية، حسبهم، دافع إلى أخلقة المدرسة وقطاع التعليم، ويعدّ المال عاملا أساسيا في رفع مكانة المعلمين والأساتذة عاليا. ورغم أن تغيّب أي موظف عن منصب عمله ممنوع إلاّ بمبرر قانوني ومقبول، فقد طالب مفتشون (ممن منع عنهم المنشور تقديم الدروس الخصوصية) وهم في الأصل أساتذة، من وزير التربية بتخصيص مكافآت مالية لأولئك الذين لا يتغيّبون والمواظبين في عملهم. من جهته، أفاد رئيس الاتحاد الوطني لجمعيات أولياء التلاميذ، الحاج دلالو، أمس، في اتصال مع “الخبر”، أن مطالبة الأساتذة بالمكافآت المالية مقابل وقف الدروس الخصوصية هو “ابتزاز” مباشر وطريقة غير معقولة ولا منطقية. وقال المتحدث، إنّه كممثل لأولياء التلاميذ ليسوا ضد الدروس الخصوصية لكن داخل المؤسسات التربوية، وليسوا أيضا ضد تحسين الوضع المادي للأساتذة والمعلمين لكن في إطار معقول، مشيرا إلى عدم وجود ما يضمن وقف الأساتذة للدروس الخصوصية إذا تحصلوا على المكافآت المالية. وأوضح الحاج دلالو أن مثل هذا الكلام لا يصدر عن مرّبين، لاسيما وأنّ الدروس الخصوصية ساهمت في خلق “تفرقة” بين التلاميذ المنحدرين من العائلات الفقيرة والغنية، مضيفا أن مثل هذه المطالب توصف بـ«التهديد” ومستعدين من أجل مكافحتها بكل الطرق القانونية.  

    وزير التربية “مكافأة حسن العمل”

    votre commentaire
  • LES COURS PARTICULIERS 

    Lire la suite...


    votre commentaire
  • Bienvenue dans la rubrique "Videos/Cnapeste"

     


    votre commentaire
  • REORGANISATION DES COURS A L'INTERIEUR DES ETABLISSEMENTS

     

     

    Lire la suite...


    votre commentaire
  • EXCLUS PAR LA COMMISSION DES ŒUVRES SOCIALES A TISSEMSILT : Des employés du secteur de l’éducation dénoncent «l'arbitraire»

    Certains travailleurs du secteur de l’éducation de Tissemsilt sont sortis de leur mutisme après leur exclusion d’une opération de tirage au sort que la commission des œuvres sociales de la wilaya de Tissemsilt a organisé au profit de ces travailleurs du secteur une Omra aux Lieux Saints de l'Islam, les protestataires ont dénoncé «une gestion arbitraire de trop», du président de laditecommission.

     


    En effet, la dernière sortie de ces travailleurs fait état d’un blocage du au comportement de ce responsable qui selon eux fait régner sa propre loi, les travailleurs à travers une lettre adressée aux responsables concernés et dont une copie nous a été remise l’ont qualifié de tous les mots, selon eux, la goutte qui a fait déborder la  coupe, est «l’exclusion de certains de leurs collègues d'une façon arbitraire et sans aucune raison de l’opération du tirage au sort, mais il faut préciser selon eux que leurs demandes de participation étaient bel et bien déposées dans les délais avec tout un dossier cependant, le jour du tirage au sort, ils se sont retrouvés exclus de l’opération et précisent que le président de ladite commission n'a rien fait pour venir à bout du problème. Le collectif qui se dit partisan de la transparence refuse que des travailleurs au siège de la direction de l’éducation  et éducateurs soient  sacrifiés comme des fusibles à chaque fois que se pose un problème en relation directe avec les œuvres sociales et c’est pour cette raison qu’une plainte a été déposée à la section civile  au niveau du tribunal de Tissemsilt. Il faut dire que les exclus ont dénoncé «la manière expéditive et humiliante réservée à leurs demandes d’explication», li-t-on dans un document dont nous détenons une copie ou le responsable de la commission avait émargé en plus de la réception, des expressions niant l’existence d’un quelconque dossier pourtant les noms des concernés avaient bel et bien été portés sur le registre prouvant que effectivement des copies des documents, demandes et passeports ont été déposés. A l’issue de ce conflit, un des plaignant a décidé d’aller jusqu’au bout dans cette affaire en marquant sa présence le 14 du mois prochain date d’introduction de cette affaire devant les magistrats près du tribunal de Tissemsilt.
     

     

    A.OULD EL HADRI
     

    votre commentaire
  •  أولى مقترحات لجنة بعث القرض الاستهلاكي

     

    البنوك تقدم قروضا ستتراوح ما بين 5 إلى 50 مليون سنتيم

     
     
    الاقتطاعات الشهرية من الأجور تقدر بـ25 بالمائة

    تضمّنت أولى مقترحات اللجنة المكلفة بإعادة بعث القرض الاستهلاكي، تحديد شروط منح القرض الاستهلاكي مستقبلا، والتي سيتم تكييفها وفقا لتلك المعمول بها سابقا قبل إلغاء الحكومة للقرض الاستهلاكي. وستقدر قيمة القروض، حسب المقترحات الأولية لأعضاء اللجنة، التي سيتم منحها لطالبي هذا النوع من القروض لاقتناء منتجات وطنية، بين 5 إلى 50 مليون سنتيم. أكد عضو من اللجنة المكلفة بإعادة بعث القرض الاستهلاكي، أنه تم الاتفاق على إعادة بعثه، بتكييف النصوص التي كانت تسير سابقا القرض الاستهلاكي قبل إلغائه من طرف الحكومة، والذي كان يشمل السيارات وحتى المواد المستوردة، ليخصص هذه المرة فقط للمنتجات الوطنية.
    في نفس الإطار، أكد نفس المصدر بأن تعويض القروض سيمثل نسبة تتراوح بين 25 إلى 30 بالمائة من قيمة الأجور، مؤكدا بأن اللجنة ستنتهي من إعداد مقترحاتها قبل 28 نوفمبر المقبل، تاريخ اجتماع أعضاء اللجنة التي نصبت للنهوض بالإنتاج الوطني للفصل في مقترحات جميع لجانها الفرعية، بما فيها بعث القرض الاستهلاكي. على صعيد آخر، أوضح ذات المصدر، بأنه يتم حاليا دراسة نموذج لتحديد المؤسسات الوطنية التي ستستفيد منتجاتها من تسهيلات الحكومة الخاصة بالقروض الاستهلاكية، مؤكدا بأن المقترح الحالي يطرح معدل إدماج يتراوح بين 30 إلى 50 بالمائة بالنسبة للمؤسسات التي تقوم بعمليات التحويل، أو الجمع بإدخال مواد مستوردة تستعمل في تصنيع منتجات محلية.
    في نفس السياق، توقّع ذات المصدر أن ينطلق في منح القرض الاستهلاكي بصيغته الجديدة بين شهري جانفي وفيفري، بعد الانتهاء من إعداد النصوص المسيرة له شهر ديسمبر المقبل.
    للتذكير، قررت حكومة أحمد أويحيى في 2009 تعليق العمل بقروض الاستهلاك من خلال المادة 75 من قانون المالية التكميلي 2009، بعد أن سجلت ارتفاعا في قيمة الأغلفة المالية ونسبة عدم التسديد، فضلا عن تشجيع الاستيراد، لأن معظم المنتجات التي كانت معنية بقروض الاستهلاك كانت مستوردة، وعلى رأسها قروض الاستهلاك الموجهة للسيارات التي كانت تمثل نسبة 70 في المائة. وقد فاقت القيمة المالية المخصصة للقروض الاستهلاكية عتبة 100 مليار دينار، وهي قيمة اعتبرتها الحكومة مرتفعة، رغم أنها مقارنة بإجمالي الاعتمادات المالية للبنوك تبقى متواضعة جدا.      

     
     

     


    votre commentaire
  • الطيب بلعيز من الجلفة
    “من حق المواطنين مقاضاة المسؤولين”

     
     
     

     أكد طيب بلعيز وزير الداخلية، أن المواطن له الحق في مقاضاة أي مسؤول إداري أو منتخب لم يقم باستقباله أو لم يرد على انشغاله، وكشف الوزير أن من بين أهم الملفات التي شملتها خطة طريق وزارة الداخلية القضاء على البيروقراطية التي وصفها بالحمقاء، إضافة إلى النظافة التي تحولت إلى هاجس مشترك.

    وتساءل الوزير خلال مداخلته أمام منتخبي ورؤساء دوائر ولاية الجلفة، أنه تم إنشاء مفتشية إطاراتها غير معروفين ومجهولة للجميع، وتنزل إلى الولايات دون علم أي أحد للتحري والتحقيق وتراقب كل المسؤولين من ولاة ورؤساء دوائر وأميار، ومن يثبت في حقه أي تجاوز سيتعرض للعقوبات، وأضاف الطيب بلعيز أن ملف الأمن والسكينة هو الآخر يمثل مشكلا آخر لابد علينا أن ننجزه بتفعيل كل الأسلاك الأمنية من أجل إيصال الشعور بالأمن للمواطنين في كل الأماكن العمومية وفي الإحياء.

    وشدد الوزير على الولاة ورؤساء الدوائر على إشراك المواطنين في توزيع السكنات وفي تنفيذ المشاريع، ولابد من فتح باب الاستشارة، لأن المواطن على حق في كثير من الأحيان. 

     


    votre commentaire
  • RECUEIL DE PERLES ET BETISIERS

    Lire la suite...


    votre commentaire
  •  

     

    وزارة التربية تسيّرها منذ سنة بـ"أساتذة مكلّفين
    مؤسسات تربوية خارج القانون
     
     
    الوظيف العمومي ألغت قوائم الناجحين والوزارة عاجزة

    عن إيجاد الحل

      

     توجد مئات المؤسسات التربوية خارج القانون منذ سنة، ولم تتحرّك مديرية المستخدمين بوزارة التربية لحل الإشكال الذي يؤثر على مصالح الموّظفين والتلاميذ، حيث تكلّف مديريات التربية أساتذة لـ"تسييّرها”، بالخصوص المتوسّطات، بعدما رفضت مديرية الوظيف العمومي التأشير على ملفاتهم لعدم استيفاء شروط الترقية، ولا يوجد نص قانوني يسيّر المؤسسات التربوية بـ"التكليف”. لجأت مديريات التربية إلى “تكليف” أساتذة بتسيير مؤسسات تربوية كـ"مرحلة انتقالية”، العام الماضي، في أعقاب رفض المديرية العامة للوظيفة العمومية التأشير على ملفات مدراء المتوسط الناجحين السنة الماضية، وقامت بإلغاء قائمة الناجحين. لكن مديريات التربية ولتغطية العجز المسجل، قامت بتكليف هؤلاء كمدراء مكلّفين بالجانب الإداري فقط. ويحوز الأساتذة المكلّفون بتسيير المؤسسات التربوية على “صلاحيات ناقصة”، ولا يكونوا فيها آمرين بالصرف ويهتمون بالوثائق الإدارية وتؤثر على مصالح العامل والأساتذة وانجازها يصبح معطّلا، ويوضعون تحت سيطرة مسؤولين بمديريات التربية ولا يعيرون لهم الاهتمام ولا يحترمون قراراتهم. ويعود هذا الوضع غير القانوني، إلى رفض الوظيف العمومي التأشير على ملفاتهم عقب نجاحهم في مسابقة العام الماضي، وأبلغتهم بأنهم استفادوا من الترقية (أي العام الماضي)، وفرضت عليهم استيفاء شرط 07 سنوات أقدمية في رتبة أستاذ تعليم متوسط رئيسي حتى يجتازوا مسابقة مديري متوسطات. والناجحون هم أساتذة أدمجوا في ظل القانون 12-240 كأساتذة رئيسيين في التعليم المتوسط، وشاركوا في المسابقة الخاصة برتبة مدير متوسطة ونجحوا فيها، والتحقوا بمعاهد مستخدمي التربية للتكوين للترقية في رتبة مدير متوسطة وعند انتهاء التكوين انتظروا التعيينات في رتبة مدير متوسطة، ولكن رفضت الوظيف العمومي ملفاتهم وألغيت قائمة الناجحين بحجة أنهم ترقوا في ظل القانون 12-240 ولا يمكنهم الترقية مرة أخرى، والسبب سوء فهم المادّة 31 مكرر. وتنصّ المادة 31 مكرّر: “يجمع انتقاليا ولمدة خمس (5) سنوات ابتداء من تاريخ نشر هذا المرسوم (12-240) في الجريدة الرسمية بين الرتبة الأصلية ورتبة الإدماج في تقدير الأقدمية المطلوبة للترقية في رتبة ما، أو التعيين في منصب عالي بالنسبة للموظفين الذين أدمجوا في رتب غير تلك المطابقة للرتب التي سبق إحداثها بموجب المرسوم التنفيذي رقم 49-90 المؤرخ في 6 فبراير سنة 1990 والمتضمن القانون الأساسي الخاص بعمال قطاع التربية المعدل والمتمم”. وتم بناء على هذا الوضع، تكليف الناجحين في المسابقة تم بمنصب مدير متوسطة إداريا وتربويا فقط، وليس بصفة رسمية كمدير متوسطة، بل أستاذ مكلف بتسيير المتوسطة إداريا إلا غاية تسوية الوضعية لدى مصالح الوظيف العمومي، ونفس الحالة لمستشاري التربية الذين “ظلموا” في قانون 12-240 بعد إضافة سنتين للاستفادة من الترقية، رغم أن قانون 08-315

    كانوا يترقون إلى رتبة مدير متوسطة بعد 05 سنوات خبرة.


    votre commentaire
  • الدروس الخصوصية تحوّلت إلى فتنة في قطاع التربية

    Lire la suite...


    votre commentaire
  • L’évolution de la terminologie à travers les temps

    La corruption éducative

    Par : Dr MALIKA REBAÏ MAÂMRI (*)

    L’expression “donner un pot-de-vin” qui est apparue au début du XVIe siècle, avait une connotation très innocente. Elle signifiait simplement “donner un pourboire”, ce que les Anglais appellent “tip”. Cependant, avec l’évolution des temps, et l’évolution des “langages”, ce terme anglais est devenu ce qu’on appelle dans notre dialecte “chipa”. Ce pot, qui dans le temps, pouvait être soit le liquide lui-même (le vin ou la bière), soit quelques pièces de monnaie, a gagné une valeur symbolique chez nous.

    L’esprit de corruption innerve toutes les sphères. La corruption transgresse les frontières du droit et de la morale. Elle évoque des pratiques malhonnêtes touchant l’argent, certes, mais à mon sens, ce genre de corruption est “bénin”. La vraie corruption, celle de l’esprit, s’est bâtie sur des bases beaucoup plus profondes. Elle s’est infiltrée dans le cœur du corrompu et a empoisonné son être. Dès l’instant où le respect de soi et de l’autre disparaît, dès qu’il y a abandon de dignité, il y a corruption.
    Ce phénomène de corruption semble se généraliser dans tous les pans de la toile éducative : dessous de table, falsification, détournement de fonds, népotisme, rétribution en échange de bienveillance, piratage d’e-mails, nous avons là une vraie banque mondiale de la corruption.  
    On distinguera deux sortes de corruption active : celle qui consiste à proposer de l’argent et celle qui consiste à offrir un service à une personne qui détient un pouvoir en échange d'un avantage indu. C’est ce deuxième aspect, que je qualifierai “d’héroïne”, que je souhaiterais analyser à l’occasion de la journée de la corruption. Pour ce faire, il est inutile de se référer au Transparency international, ce fameux baromètre mondial de la corruption, concentrons-nous sur ce qui nous touche de près, le Transparency national. On parle souvent de drogue dans les établissements scolaires mais on ne fait pas cas de la drogue la plus dangereuse dans un système éducatif, la corruption des éducateurs. Les institutions éducatives sont la garantie du gouvernement d’un peuple libre contre la corruption des moeurs, or de nos jours, elles ne jouent plus leur rôle. Elles offrent comme modèles illustres des barons(nes) voleurs/euses et des profiteurs/euses.
    Il est dramatique que dans des établissements dont la mission est de former le citoyen de demain, on puisse acheter des consciences : on y vend des certificats de scolarité, des modules, des diplômes ; on monnaye des postes de responsabilité, des bourses (résidentielles ou autres) à l’étranger. On réserve même des logements de fonction, dont les locataires ont quitté les lieux depuis des années, à des parents proches pendant que ceux à qui ces logements reviennent de droit se voient contraints de payer des loyers exorbitants pour s’abriter.
    Microsoft a introduit dans ses systèmes d’exploitation un système d’identification des utilisateurs. Mais les mouchards ne sont pas seulement dans les systèmes informatiques, ils opèrent partout ailleurs. Quelle différence faites-vous entre espionnage, ciblage, engrenage et broyage ? Moi, aucune. Au lieu de bouquinage, certains établissements se sont dotés, en toute transparence, de logiciels espions pour intercepter tout ce qui se passe sur les lieux. C’est tout un processus qui est mis en marche. Au fil de l’investigation, les “bestioles” déploient d’innombrables mandibules et tissent une toile complexe, telles des araignées. En clair, qu’importent les menues infractions au respect de la vie privée de quelques collègues quand il s’agit de grimper les échelons.
    Les recrues pour ce genre de “noble” tâche vivent des moments symboliques, voire solennels car s’ils ne “réussissent” pas, ils sont considérés comme des ratés. Donc, il ne faut pas rater l’occasion de réussir. Et dans cette escalade vers le haut, tous les stratagèmes sont bons : manipulation, mensonges, magouilles, diabolisation et/ou atteinte à la réputation des collègues, rien ne les arrête. Certains, plus machiavéliques que d’autres, n’hésitent pas à pousser certaines cibles au suicide. Les informations, souvent fausses ou maquillées, divulguées par ces écouteurs de masse, pourtant comblent d’aise ceux à qui elles sont destinées. Alors qu’importe, se disent ces Spywares, il faut rendre service à ceux qui le leur demandent ! Ils creusent et au lieu de faire de la recherche scientifique, ils s’adonnent à la recherche maléfique ! Ainsi, ces camelots croient avoir fait leurs preuves et réussi leur vie. Cela devient une vraie question de “to be or not to be” (Shakespeare).
    En ce moment, les medias parlent beaucoup de corruption concernant les cours particuliers dans le secteur de l’éducation. Il est vrai que plusieurs enseignants ne font pas leur travail en classe et se remplissent les poches avec les cours particuliers, mais il ne faut pas généraliser. Il y a quand même des enseignants très honnêtes ! Ceux-là donnent des cours particuliers, pas spécialement dans leur établissement, non pas pour s’enrichir mais pour, par exemple,  payer leur loyer car leur salaire ne leur permet pas de faire face à toutes les dépenses.
    Pourquoi ne pas parler plutôt de certaines formes de corruption très sophistiquées concernant l’évaluation des étudiants ? Dans certaines universités, on ne corrige pas les copies des étudiants, et oui cela fait trop de travail ! Comment sont-ils notés alors ? Celui/celle qui est censé(e) enseigner les valeurs a perdu tout sens des valeurs.
    Premier système d’évaluation : une fois à la maison, il/elle jette les copies des étudiants en l’air, celles qui tombent sur le lit ont droit à la moyenne, celles qui tombent sur l’armoire obtiennent la note maximale et le pauvre étudiant dont la copie atterrira sous le lit… est recalé. Oui on peut dire que la réussite est un coup de chance !
    Une deuxième stratégie d’évaluation, très en vogue, consisterait à faire plusieurs piles de copies et ici, à titre d’exemple, la première pile bénéficierait d’un 18/20, la deuxième d’un 16/20, et cela va décrescendo et là aussi le malchanceux risque de récolter une note éliminatoire et même un 00/20 alors que ses réponses sont plus justes que celui qui a eu la meilleure note. Époustouflante corruption, n’est-ce pas ?
    De tels comportements au sein d’établissements qui se disent voués à la formation des générations futures ont de quoi inquiéter. Cela signifie que plus rien n’a de valeur en soi et que le sens des responsabilités sociales ou spirituelles a disparu. Lorsqu’il n’y a plus que la corruption pour se sentir exister, c’est qu’on a construit un rempart contre l’essence même de ce que nous sommes. Est-ce cela bâtir une nation ? Est-ce cela vivre dans une société évoluée ou libérée?

    Comment lutter contre cette corruption  “éducative” ?
    Au moment où les pouvoirs publics appellent à combattre la corruption sous toutes ses formes et à tous les niveaux, la traque devrait commencer par les secteurs éducatifs car ce sont ces secteurs qui sont chargés de la formation des cadres de l’Algérie de demain.
    Il faut penser à des stratégies nationales de lutte contre la corruption. Une charte d’éthique et de déontologie ou bien des poursuites judiciaires ne sont pas “les” remèdes à ce cancer qui métastase notre société. Pour éviter la corruption, une approche holistique induit de prendre les mesures nécessaires pour améliorer le niveau d’intégrité publique, de renforcer la déontologie au sein des institutions éducatives et sans doute aussi de défier les normes sociales qui encouragent la corruption. Ces mesures pour évaluer les besoins d’intervention pour lutter contre la corruption et évaluer leur succès font partie intégrante des efforts de réforme dans notre pays.


    M. R. M.
    (*) Enseignante-chercheus

     


    votre commentaire
  • Procès Cnapest-direction de l’éducation de Bouira

    Acquittement pour 8 syndicalistes et amendes pour 2 autres

    Par : Hafidh Bessaoudi

    Le verdict du procès opposant 10 syndicalistes du Cnapest au directeur de l’éducation a été rendu, hier matin, devant une foule nombreuse, notamment des enseignants et des adhérents de ce syndicat.
    Le juge a stupéfait l’assistance en énonçant la sentence qui en a surpris plus d’un. Acquittement pour 8 accusés, tandis que Djamel Benyoucef et Zoubir Messaoudi ont écopé chacun d’une amende de 20 000 DA, en plus de reverser tous deux 100 000 DA de dommages et intérêts à la partie plaignante. Pour Zoubir Messaoudi, il s’agit là d’un règlement de compte de la part du directeur de l’éducation de Bouira. “Nous ne dénonçons pas ce verdict même si nous allons en cassation, nous dénonçons juste la manière dont la plainte a été déposée car le directeur de l’éducation de Bouira a une dent contre nous et contre le syndicat en général avec lequel il n’entretient pas de bonnes relations.’’ Pour M. Messaoudi, le grief retenu contre lui et contre son camarade Benyoucef est “d’avoir arboré un badge sur lequel était écrit ‘Irhel !’(dégage !)” De même que la banderole accrochée dans la cour de la Direction de l’éducation sur laquelle il était fait mention de la résolution du conseil de wilaya du Cnapest qui exigeait le départ du directeur de l’éducation.
    Les deux syndicalistes, accompagnés de plusieurs membres du conseil national du Cnapest, affirment que leur combat continuera pour demander, une fois de plus, l’envoi d’une commission ministérielle pour enquêter profondément sur “les maux qui rongent le secteur de l’éducation à travers le territoire de la wilaya de Bouira”.


    votre commentaire

  • votre commentaire
  • SALAIRE: DEFINITION ET CALCUL...

    Lire la suite...


    1 commentaire
  • Contribution

    SENOUSSAOUI ABDERAHMANE

    Lire la suite...


    1 commentaire