• Actualités : Deuxième jour de grève dans l’éducation Le Cnapest maintient la pression

    Second jour de grève dans le secteur de l’éducation hier. Le débrayage est particulièrement suivi dans le palier secondaire. Le Cnapest organise ce matin un sit-in. Il dénonce les tentatives de la tutelle de minimiser l’ampleur du mouvement et assure que la balle est dans le camp du département de Baba Ahmed.
    Nawal Imès - Alger (Le Soir) Pas de retour à la normale dans les établissements scolaires. Les enseignants des trois paliers étaient toujours en grève avec un fort taux d’adhésion au niveau du secondaire. Le Cnapest a maintenu la pression intacte après un premier jour de grève où le taux de suivi était estimé à plus de 80 %. Son coordonnateur national s’insurgeait hier contre les tentatives de la tutelle de minimiser l’ampleur du mouvement. Pour Nouar Larbi, en plus de ne pas ouvrir les canaux de dialogue, le ministère «prouve qu’il ne se soucie guère de l’intérêt des élèves», ajoutant que le syndicat prenait à témoin l’opinion publique puisque, dit-il, les «irresponsables du ministère prouvent qu’ils mettent leur maintien à leurs postes en tête de leurs préoccupations». Comme décidé par le conseil national, la grève se poursuit donc et son arrêt est conditionné par l’ouverture d’un dialogue. Sans cela, le Cnapest se dit prêt à poursuivre son mouvement, estimant que la clef est entre les mains du ministère de l’Education qui, jusqu’à hier, s’était contenté du communiqué rendu public dans lequel il évoque un taux de suivi dérisoire estimé à 6% au niveau national. Une sortie loin d’apaiser le climat ou de décourager le syndicat. Le Cnapest rappelait hier à ses adhérents que la grève se poursuivait et que seul un communiqué émanant du conseil national pouvait y mettre fin. Le syndicat autonome appelait également les enseignants des trois paliers à participer massivement au sit-in prévu ce matin au niveau de l’annexe du ministère de l’Education au Ruisseau pour exiger la satisfaction d’une plate-forme de revendications de plusieurs points. Le Cnapest revendique la régularisation des enseignants considérés «en voie d’extinction» par le statut particulier en les intégrant aux grades prévus par ce texte en valorisant leurs années d’expérience, l’organisation de concours pour permettre aux enseignants d’accéder au grade d’enseignant principal et formateur et appelle également à la mise en œuvre des dispositions relatives à la prime du Sud et à son calcul sur la base des nouveaux salaires avec un effet rétroactif à compter du 1er janvier 2008. Le syndicat appelle à la réouverture du dossier des logements de fonction, de celui de la médecine du travail, celui des oeuvres  sociales, de la retraite après 25 ans de service et à accélérer la mise en place de la commission gouvernementale chargée d’effectuer l’inventaire des biens et des avoirs des œuvres sociales et exige l’intégration des enseignants licenciés qui avaient réussi au concours de recrutement au cours de l’année 2012 et l’application du nouveau statut particulier de la corporation.  Le syndicat autonome dénonce, enfin, les nombreuses atteintes aux libertés syndicales. N. I.

     


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    تطبيقا لقرارات دورة المجلس الوطني المنعقدة في   28   سبتمبر 2013 يعلن المكتب الوطني بأن الاضراب  يبقى متواصلا إلى غاية صدور بيان للمجلس الوطني.  ويدعو الزميلات و الزملاء الأساتذة إلى المشاركة الفعالة في التجمع الوطني الاحتجاجي  يوم الأربعاء 09 أكتوبر 2013على الساعة العاشرة صباحا  بملحقة وزارة التربية الوطنية  برويسو الجزائر العاصمة.


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  • Selon le syndicat : La grève des lycées largement suivie    

    par S.M., M.B., M.A. & A.Z.   

    La grève d'une journée renouvelable des enseignants des lycées perturbe, à nouveau, le secteur de l'Education, après un mois de la rentrée des classes.

    Le débrayage auquel a appelé le Cnapest élargi a été, massivement suivi, selon le porte-parole du syndicat, Messaoud Boudiba, à 85 %, au niveau national, a-t-il affirmé. M. Boudiba a affirmé que la grève a, même, touché le cycle moyen avec un taux de suivi de 30 à 40% et le cycle primaire avec un suivi de 10 à 20%. Pour le porte-parole du Cnapest, le recours à la grève était inévitable, compte tenu, de l'attitude du ministère de l'Education, son « manque de sérieux » et le non respect de ses engagements. Il précise que le département de Baba Ahmed n'a apporté aucune réponse claire sur les revendications socioprofessionnelles des professeurs des lycées. Notre interlocuteur a affirmé que le dossier du logement, au profit des professeurs, à l'échelle nationale, et plus particulièrement au Sud, n'a connu aucune avancée. Idem pour d'autres revendications, à l'exemple de la mise en place d'une commission gouvernementale chargée d'établir l'inventaire des biens et des avoirs des Oeuvres sociales, ainsi que l'application du nouveau statut particulier de la corporation. Sur un autre volet, le syndicat veut, également, par ce mouvement, dénoncer les mauvaises conditions de travail, la surcharge des classes, le déficit en matière d'infrastructures scolaires et en personnel enseignant, ainsi qu'un problème de dysfonctionnement dans la distribution des manuels dans certaines régions. Interrogé, sur la non participation du syndicat à une rencontre initiée par le ministère de l'Education, qui a eu lieu, dimanche dernier, avec différents syndicats du secteur, M. Boudiba a indiqué que «c'était juste une réunion protocolaire, notre syndicat veut une réunion de travail où les dossiers en suspens sont, sérieusement, débattus». Certes, reconnaît-on du côté du Cnapest, il existe bien des revendications communes, entre les différents syndicats, en activité dans le secteur de l'Education, mais il y a des points qui sont portés par certaines plate-formes et non pas d'autres, d'où notre refus de participer à cette réunion. Le ministère de l'Education rappelle, de son côté, dans un communiqué, que les portes du ministère sont ouvertes à tous les partenaires sociaux et que d'autres réunions suivront, avec chaque syndicat, en aparté, afin de discuter, amplement, des préoccupations particulières à chaque partenaire. Le ministère indique, par ailleurs, qu'il déploie, tous les efforts, pour satisfaire les revendications des enseignants, rappelant, dans ce sens les problèmes résolus, dont les procédures mises en place, en matière de concours professionnels, prévus au mois de novembre prochain et qui ouvriront la voie à la promotion des enseignants des filières techniques, les laborantins, les adjoints de l'Education, les conseillers de l'Education et les économes.
    Cependant, le porte-parole du Cnapest indique, que le débrayage est recondui,t aujourd'hui, et les jours suivants, d'une façon systématique… à moins d'une satisfaction des revendications qui portent essentiellement sur « une autre lecture des textes du statut particulier et surtout l'arrêt immédiat des poursuites abusives contre les syndicalistes ». 
    A Oran le mot d'ordre de grève, lancé par le Cnapest élargi, a été suivi, selon la coordinatrice wilaya de cette organisation syndicale, dans 16 lycées et une dizaine de collèges, éparpillés à travers le territoire de la wilaya. «Le taux de suivi, durant cette première journée de la grève, a atteint 65,98% parmi nos adhérents dans le cycle secondaire, alors que dans le cycle moyen le taux de suivi a été de 26,66%. Dans certains établissements scolaires, à l'exemple du lycée Adda Abdelakader (ex St Charles) et les collèges Nedjma 3 et Aïn El Beida, nous avons eu un taux d'adhésion de 100%», affirme la coordinatrice de wilaya du Cnapest élargi, tout en concédant que le mouvement de contestation n'a pas été, massivement suivi dans les collèges car l'«information n'a pas circulé parmi les adhérents». Plusieurs établissements secondaires de la ville, essentiellement ceux de la zone-est, ont enregistré, selon cette syndicaliste, des taux qualifiés de «satisfaisants» et qui reflètent une mobilisation «considérable» parmi les adhérents. Dans le cycle moyen, les chiffres avancés par ce syndicat varient entre 65,21% pour le collège Hamada El Habib, à 50% pour celui de Haï Yasmine. Ces taux de suivi concernent uniquement les adhérents de cette organisation syndicale.
    Le mouvement de contestation n'a pas touché tous les établissements scolaires de la wilaya d'Oran étant donné que les enseignants adhèrent à d'autres organisations syndicales.
    Répondant à l'appel à une journée de protestation, lancée par le Cnapest, les enseignants de l'Enseignement secondaire et des adhérents des 02 autres cycles, activant dans la wilaya d'Aïn Témouchent, ont été, à 50,55%, à suivre le mouvement. Ainsi, et selon une source autorisée, sur 997 professeurs des lycées et technicums, 504 ont observé le débrayage. Cependant, pour une source du Cnapest, le mot d'ordre a été, en réalité, suivi à 82,48%, justifiant que des enseignants «grévistes», absents la matinée, faute de classe ou d'emploi de temps, n'ont été comptabilisés que l'après-midi

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  • Grève dans le secteur de l’éducation

    Baba Ahmed face à la colère des enseignantsLe ministre Abdelatif Baba Ahmed est appelé à faire face à un vaste mouvement de protestation dans son secteur, un mois seulement après la rentrée scolaire.

    Le Conseil national autonome des professeurs du secondaire et du technique (Cnapest), qui entame aujourd’hui une grève illimitée, brandit comme principale revendication la révision du statut particulier des travailleurs du secteur, jugé «discriminatoire et contenant plusieurs dysfonctionnements». Le Syndicat national des travailleurs de l’éducation (SNTE) compte lui aussi entamer une grève reconductible chaque lundi et prévoit un rassemblement le 9 octobre.

    D’autres syndicats autonomes, même s’ils n’ont pas encore annoncé un quelconque mouvement de protestation, se sont largement exprimés sur «les lacunes contenues dans le statut régissant la corporation». «Il est clair, selon le Conseil des lycées d’Algérie (CLA) que notre syndicat ne se taira pas sur les aberrations contenues dans le texte», précise Idir Achour, porte-parole de ce syndicat.
    Les organisations syndicales autonomes sont presque unanimes quant à la nécessité de l’ouverture du chantier de la révision du statut, en vigueur depuis plus deux ans. «L’actuel statut ne garantit pas l’équité en droits à toutes les catégories», estime l’Union nationale des personnels de l’éducation et de la formation (Unpef). Plusieurs incohérences ont été relevées quant à la gestion des carrières des différentes catégories de fonctionnaires. Certaines catégories sont favorisées alors que d’autres sont complètement lésées, comme c’est le cas des enseignants du technique qui s’estiment défavorisés par les dispositions du décret exécutif n°08/315 du 11 octobre 2008, dont la dernière mouture a été approuvée dans le décret exécutif n°12/240 du 29 mai 2012.

    Des dispositions liées à la classification de certaines catégories de fonctionnaires comme les directeurs, censeurs et enseignants du technique, des corps communs et la gestion de la médecine du travail suscitent également la colère des travailleurs. Leurs représentants ont fait connaître leur opinion en organisant plusieurs mouvements de protestation, des grèves et des rassemblements pour dénoncer les inégalités contenues dans le statut. Durant l’année scolaire 2012/2013, plusieurs organisations syndicales ont tenté de défendre, chacune de son côté ou à travers des actions communes, les intérêts de chaque corporation. Ceci malgré les 29 réunions tenues entre l’ancien ministre de l’Education, Boubekeur Benbouzid et les représentants des syndicats concernant les propositions et les négociations autour de ce texte, qui n’a pas tenu compte, à la fin, des propositions des travailleurs, selon les syndicats qui ont maintenu le bras de fer jusqu’à la fin de l’année scolaire. 

    L’actuel ministre, qui s’est montré plutôt conciliant en demandant «plus de temps» avant d’engager une quelconque refonte du texte régissant la corporation, est confronté aujourd’hui aux conséquence de la politique de ses prédécesseurs. Aussi, comme l’a maintes fois répété le ministre, la refonte des dispositions du statut ne relève pas des prérogatives de la tutelle. La direction de la Fonction publique sous la tutelle du Premier ministère n’a affiché aucune volonté de revoir de sitôt ces textes.

     

    Fatima Arab

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  •  À 48H de l’expiration de son ultimatum

    Le Cnapest maintient le mot d’ordre de grève

    Par : Malika Ben

    Le syndicat de Nouar Larbi hausse le ton et menace de poursuivre quotidiennement son action jusqu’à ce que la tutelle ouvre le dialogue et décide de débattre des dossiers en suspens. Le SNTE compte, lui aussi, observer une grève tous les lundis.

    Un nouveau bras de fer est désormais engagé entre les syndicats de l’éducation nationale et le département de tutelle. Les premières perturbations du secteur débuteront lundi. Deux syndicats montent au créneau et basculent déjà le secteur dans l’instabilité. Le Cnapest-élargi et le SNTE ont choisi le 7 octobre pour mobiliser leurs troupes. Les déclarations du coordinateur national du Cnapest-élargi, lors d’un point de presse tenu hier au nouveau siège national, n’augurent rien de bon. Selon Nouar Larbi, “le mouvement de protestation marqué par une journée de grève nationale reconductible automatiquement ne sera levé que par l’ouverture d’un dialogue avec la tutelle autour des dossiers restés en suspens depuis 2008”.
    Autrement dit, le débrayage des enseignants du secondaire et des adhérents des deux autres cycles qui commencent donc demain sera reconduit quotidiennement dans le cas où la tutelle persisterait dans son mutisme. “La grève sera levée dès que le ministère décidera d’ouvrir le dialogue”, assure Nouar Larbi, pour qui la balle est dans le camp du département de Baba Ahmed. “Nous voulons confirmer à l’opinion publique que c’est la tutelle, voire tout l’Exécutif, qui est contre le dialogue et la concertation avec les partenaires sociaux”, lance le coordinateur national.
    Il en veut pour preuve le fait que le préavis de grève a été déposé le 29 septembre dernier et, à ce jour, la tutelle ne s’est pas manifestée. Le conférencier expliquera que c’est à contre-cœur que le conseil national du syndicat a opté pour la protestation. “Nous avons été contraints en raison de l’inexistence du dialogue, de l’indifférence et de la non-concrétisation des engagements pris”, explique-t-il. Et de lancer un appel en direction des parents d’élèves : “Soyez justes et voyez bien qui prend en otage les élèves et qui ne pense pas à leur intérêt. C’est la tutelle qui en fait son bouclier, pas les syndicats dont les revendications attendent depuis 2008. Si la tutelle avait satisfait une revendication par an, on n’en serait pas arrivé au débrayage.”
    Le coordinateur national dénoncera ce qu’il considère comme “un blanchiment des rapports de situation transmis au ministre. Ce fut le cas même lors de la conférence nationale consacrée à la rentrée scolaire où le Premier ministre était présent”. Le conférencier citera le problème de la surcharge des classes “minimisée” par les responsables du secteur, alors que “certaines salles de classe atteignent les 60 élèves !”. Nouar Larbi dénoncera, enfin, les atteintes à l’exercice du droit syndical et la répression et autres représailles dont sont victimes ses adhérents. “Nombreux sont ceux qui ont été radiés, licenciés ou traduits devant la justice”, dira-t-il.

    SNTE : débrayage tous les lundis et sit-in le 9 octobre
    Réuni de son côté pour faire le bilan de la rentrée scolaire 2013-2014, le secrétariat national du SNTE a, lui aussi, opté pour la protestation. Grève tous les lundis à compter de demain et sit-in le 9 octobre prochain devant le siège de tutelle.
    Le syndicat de Boujenah, qui représente notamment le cycle primaire, défend, notamment, la révision des défaillances et lacunes du nouveau statut particulier amendé et la régularisation des instituteurs et professeurs du fondamental en voie d’extinction. Il dénonce la non-concrétisation des engagements pris par la tutelle, la mauvaise évaluation du secteur et la déperdition scolaire.

    M. B


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  • شلل في الثانويات واستجابة محتشمة في الابتدائيات والمتوسطات 

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  • Actualités : Le Cnapest maintient son mot d’ordre Les lycées en grève à partir d’aujourd’hui

    Pas d’offre de dialogue «sérieuse» de la part de la tutelle. A la veille de la grève à laquelle a appelé le Cnapest, le ministère de l’Education a convoqué l’ensemble des syndicats agréés pour une réunion. Le Cnapest y voit une tentative de casser l’élan de la grève.
    Nawal Imès - Alger (Le Soir) Le mot d’ordre de grève lancé par le Cnapest est toujours d’actualité. A la veille du débrayage, le syndicat n’avait reçu aucune invitation au dialogue. Messaoud Boudiba, porte-parole du syndicat autonome, expliquait hier que la tutelle avait lancé dans la précipitation des invitations à l’ensemble des syndicats pour une réunion qui devait se tenir à 14 heures. A l’ordre du jour, une séance d’explication des différents procès-verbaux établis avec chacun des syndicats. «Du non-sérieux !» commente le parte-parole du Cnapest qui explique qu’à la veille de la grève, le plus urgent aurait été d’ouvrir les discussions autour des questions en suspens comme le dossier des syndicalistes suspendus injustement. «Une provocation», ajoute le porte-parole du Cnapest qui voit en l’initiative du département de Baba Ahmed une tentative de casser le mouvement. C’est dans cet esprit que le syndicat maintient la pression en appelant les professeurs à entamer dès aujourd’hui une grève d’un jour reconductible. La durée de ce débrayage dépendra de la réaction du ministère de l’Education, affirmait le coordonnateur national du Cnapest qui appelle à la réintégration d’un membre du conseil national licencié abusivement et faisant l’objet de poursuites judiciaires. Le syndicat insiste sur la régularisation des enseignants considérés «en voie d’extinction» en les intégrant aux grades prévus par le statut particulier en valorisant leurs années d’expérience. Il revendique également l’organisation de concours pour permettre aux enseignants d’accéder au grade d’enseignant principal et formateur. Le Cnapest appelle également à la mise en œuvre des dispositions relatives à la prime du Sud et à son calcul sur la base des nouveaux salaires avec un effet rétroactif à compter du 1er janvier 2008, à la réouverture du dossier des logements de fonction, de celui de la médecine du travail, celui des œuvres sociales, de la retraite après 25 ans de service. Dans un communiqué sanctionnant la réunion de samedi, le Cnapest appelle la tutelle à accélérer la mise en place de la commission gouvernementale chargée d’effectuer l’inventaire des biens et des avoirs des œuvres sociales et exige l’intégration des enseignants licenciés qui avaient réussi au concours de recrutement au cours de l’année 2012 et l’application du nouveau statut particulier de la corporation. Le préavis de grève du Cnapest avait été déposé le 29 septembre dernier et n’a suscité aucune réaction de la part de la tutelle. N. I.


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  •  GREVE DU CNAPESTE / OCTOBRE

                              2013

     

    تطبيقا لقرارات دورة المجلس الوطني المنعقدة في28

    سبتمبر 2013 يعلن المكتب الوطني بأن الاضراب  يبقى متواصلا إلى غاية صدور بيان للمجلس الوطني.  ويدعو الزميلات و الزملاء الأساتذة إلى المشاركة الفعالة في التجمع الوطني الاحتجاجي  يوم الأربعاء 09 أكتوبر 2013على الساعة العاشرة صباحا  بملحقة وزارة التربية الوطنية  برويسو الجزائر العاصمة.


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