•  CELEBRATION DU 08 MARS 2014

    (Contenu de la correspondance adressée aux directeurs des établissements scolaires)

                                                                

                                      A l’occasion de la journée de la femme, la commission des œuvres sociales organisera une conférence-débat sur les pathologies liées aux varices et à la gynécologie. La conférence-débat sera animée par deux spécialistes des branches médicales susmentionnées. La portée sensibilisatrice de cette dernière devrait favoriser une large prise de conscience des travailleuses de l’éducation. Aussi, la commission des œuvres sociales a l’honneur de vous demander de déléguer à la conférence - débat celle qui représentera votre établissement. La participation de tous les établissements est indispensable afin de permettre de dégager la meilleure façon d’impliquer le concours des œuvres sociales dans la prévention de ces maladies.

                                     La conférence-débat aura lieu le 08 mars 2014 à 09 heures dans la salle de conférence sise au siège des œuvres sociales de l’éducation.

                                  La restriction à une déléguée par établissement est liée au nombre des établissements scolaires et à la capacité de la salle de conférences.

     


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  • Les bénéficiaires d'un prêt de 30 millions de centimes sont priés de remplir et légaliser l'imprimé CCP ci-dessous pour autoriser les prélèvements de 6000 da par mois, valeur des mensualités de remboursement du prêt. L'opération est similaire à celle concernant les prêts pour achat de véhicules et doit se faire dans les meilleurs délais.

    NB: JOINDRE A L'IMPRIME UN CHEQUE BARRE ET UNE PHOTOCOPIE DE LA CNI.

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  • NOM ET PRENOM ECH MT PRÊT
             
             
    1 ABA NADJIA 30 5 000,00 150 000,00
    2 ABDERRAHIM BOUALEM 30 5 000,00 150 000,00
    3 ABDERRAHMANI KHALED 30 5 000,00 150 000,00
    4 AIT MOUHOUB MOHAMED 30 5 000,00 150 000,00
    5 AIT TALEB ROZA 30 5 000,00 150 000,00
    6 ALLICHE AMARA 30 5 000,00 150 000,00
    7 AMRANE MADJID 30 5 000,00 150 000,00
    8 ARKOUB DYHIA 30 5 000,00 150 000,00
    9 ARROUDJ SLIMANE 30 5 000,00 150 000,00
    10 ASMANI DJOUHER 30 5 000,00 150 000,00
    11 AZIZ FERROUDJA 30 5 000,00 150 000,00
    12 BABACI AKILA 30 5 000,00 150 000,00
    13 BACHATENE SABIHA 30 5 000,00 150 000,00
    14 BAOUCHE NAIMA 30 5 000,00 150 000,00
    15 BELARBIA AHMED 30 5 000,00 150 000,00
    16 BELKACEM MOHAMED SAID 30 5 000,00 150 000,00
    17 BENNABI HOCINE 30 5 000,00 150 000,00
    18 BERRAZ HOURIA 30 5 000,00 150 000,00
    19 BESSALEM HAMID 30 5 000,00 150 000,00
    20 BOUKERB MERZOUK 30 5 000,00 150 000,00
    21 BOUSSAD MEHDI 30 5 000,00 150 000,00
    22 BOUSSETA AHMED BEN SAID 30 5 000,00 150 000,00
    23 BOUTABA HAKIMA 30 5 000,00 150 000,00
    24 CHABBI AHMED 30 5 000,00 150 000,00
    25 DAHMANI DJAMILA 30 5 000,00 150 000,00
    26 DAHMOUN DJAMAL 30 5 000,00 150 000,00
    27 DJABALI ABDELLAH 30 5 000,00 150 000,00
    28 DJEBLI RABAH 30 5 000,00 150 000,00
    29 HADDADOU ALI 30 5 000,00 150 000,00
    30 HADDAR ZOHRA 30 5 000,00 150 000,00
    31 HALLAL MOHAMED 30 5 000,00 150 000,00
    32 HAMACHE RACHID 30 5 000,00 150 000,00
    33 HAMADENE AMAR 30 5 000,00 150 000,00
    34 HAMECHA LARBI 30 5 000,00 150 000,00
    35 HAMICHE KAHINA 30 5 000,00 150 000,00
    36 HAMMOUDI NACIRA 30 5 000,00 150 000,00
    37 HAMOU LEILA 30 5 000,00 150 000,00
    38 HECHICHE AMEL 30 5 000,00 150 000,00
    39 HOCINE TAHAR 30 5 000,00 150 000,00
    40 IDER MALIKA 30 5 000,00 150 000,00
    41 IMMEMAI ALI 30 5 000,00 150 000,00
    42 IZRI FATIHA 30 5 000,00 150 000,00
    43 KABENE KATIA 30 5 000,00 150 000,00
    44 KANA/BOUTALEB HAMIDA 30 5 000,00 150 000,00
    45 KARAOUI OMAR 30 5 000,00 150 000,00
    46 KECILI TASSADIT NEE.LAMRI 30 5 000,00 150 000,00
    47 KEDDACHE HOURIA 30 5 000,00 150 000,00
    48 KEDJEM FARID 30 5 000,00 150 000,00
    49 KHALDI GHANIA 30 5 000,00 150 000,00
    50 KHALDI MOURAD 30 5 000,00 150 000,00
    51 KICHOU FETTA 30 5 000,00 150 000,00
    52 LAOUADI HOURIA 30 5 000,00 150 000,00
    53 LOUANCHI HACENE 30 5 000,00 150 000,00
    54 MAHDI FATIMA 30 5 000,00 150 000,00
    55 MERBAH ABDENOUR 30 5 000,00 150 000,00
    56 MERBAH KARIM 30 5 000,00 150 000,00
    57 MEZIANE SAMIA 30 5 000,00 150 000,00
    58 MEZINE NACIRA 30 5 000,00 150 000,00
    59 MOUSSAOUI LAMIA 30 5 000,00 150 000,00
    60 MOUZARINE DJAMILA 30 5 000,00 150 000,00
    61 NOUALI BOUALEM 30 5 000,00 150 000,00
    62 NOURAOUT ALI 30 5 000,00 150 000,00
    63 OUALI KHALIDA /HADJ LAZIB 30 5 000,00 150 000,00
    64 OUARAB LOUNES 30 5 000,00 150 000,00
    65 OUDAHMANE ABDENOUR 30 5 000,00 150 000,00
    66 OULD LHADJ RADIA 30 5 000,00 150 000,00
    67 RABIA FARID 30 5 000,00 150 000,00
    68 RAHAL RACHID 30 5 000,00 150 000,00
    69 SADEG KAMEL 30 5 000,00 150 000,00
    70 SEDDAR MOHAMED 30 5 000,00 150 000,00
    71 SELLAH CHERIF 30 5 000,00 150 000,00
    72 SIGHELANI HOCINE 30 5 000,00 150 000,00
    73 TOUZOUTI SAMIR 30 5 000,00 150 000,00
    74 YACINI ALLAOUA 30 5 000,00 150 000,00
    75 YALLOULENE MOHAND AKLI 30 5 000,00 150 000,00
    76 YOUNES SAID 30 5 000,00 150 000,00
    77 ZABILA NOUARA 30 5 000,00 150 000,00
    78 ZAMOUM HADDA 30 5 000,00 150 000,00
    79 ZROUROU MEZIANE 30 5 000,00 150 000,00
            11 850 000,00
            79

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  • Actualités : Le sit-in des adjoints de l’éducation empêché

    A l’appel de la Coordination des adjoints de l’éducation, affiliée au SNTE, des adjoints de l’éducation ont tenté de se rassembler face à l’annexe du ministère de l’Education. Ils ont été empêchés par le dispositif des forces de l’ordre de tenir leur rassemblement. Un nombre important d’adjoints de l’éducation a été arrêté. Les autres ont été sommés de quitter les lieux.
    Les adjoints de l’éducation entamaient hier le second et dernier jour d’un débrayage décidé par la coordination nationale qui exige l’ouverture du dossier des adjoints de l’éducation qualifiés de parent pauvre du secteur. Ils réclament la classification des adjoints recrutés sans DEUA au même grade que celui de leurs collègues détenteurs de ce diplôme, arguant que leurs années d’expérience ne pouvaient être ignorées.
    Les adjoints de l’éducation avaient auparavant boycotté l’examen professionnel organisé par la tutelle, expliquant qu’ils ne pouvaient cautionner une démarche qui ne permettait qu’à très peu d’entre eux d’accéder aux grades désirés au regard du nombre limité de postes budgétaires ouverts.
    N. I.

     


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  • Actualités : Ministère de l’éducation-lycéens
    Le dialogue de sourds


    Les assurances du ministère de l’éducation ne sont visiblement pas parvenues aux oreilles des lycéens. Ils étaient encore nombreux à investir la rue hier pour faire part de leurs inquiétudes. Toutes leurs préoccupations sont pourtant prises en compte par le département de Baba Ahmed mais l’information ne semble pas circuler au sein des établissements scolaires.
    Nawal Imès - Alger (Le Soir)
    De nombreux lycéens continuaient hier à investir la rue. Ils se sont, encore une fois, rassemblés à quelques encablures de l’annexe du ministère de l’Education à Ruisseau, exigeant toujours de connaître le seuil des cours pris en compte pour l’élaboration des sujets du baccalauréat et refusant de sacrifier leurs vacances pour rattraper les cours perdus durant les semaines de grève.
    Les forces de l’ordre déployées sur place ont toléré dans un premier temps avant de recevoir l’ordre d’évacuer l’ensemble des lycéens. Comme la veille, des bus ont été réquisitionnés pour l’occasion.
    Les lycéens y ont été montés de force avant d’être conduits vers d’autres quartiers d’Alger. Ils ont cependant eu le temps de crier leur colère, massés sur un trottoir. Que veulent-ils ? Pouvoir profiter de leurs vacances, ne pas être condamnés à avoir cours mardi et samedi après-midi et surtout le fameux «seuil». Tous ignoraient hier que le ministère de l’Education avait déjà fait savoir qu’il n’était pas question de supprimer les vacances ni de reporter les épreuves du baccalauréat.
    Le département de Baba Ahmed avait pourtant, dès le début du mouvement de protestation des lycéens, anticipé en faisant savoir que les dates des examens restaient inchangées et qu’il n’était pas question de suppression des vacances de printemps.
    Le ministère de l’Education avait fait état de l’installation d’une commission qui a la charge de faire le point sur le retard accusé pour cause de grève.
    Cette dernière ayant été différemment suivie d’un établissement à un autre, il s’agit de trouver des solutions au cas par cas et non pas imposer à l’ensemble des élèves le même rythme de rattrapage. Des mesures qui ne sont visiblement pas assez vulgarisées au niveau des établissements scolaires. Pourquoi les chefs d’établissement n’ont-ils pas pris l’initiative de largement diffuser les communiqués du ministère de l’Education ?
    Les conseillers pédagogiques auraient, eux aussi, pu faire ce travail d’explication auprès des élèves et éviter ainsi que sur un simple malentendu, des lycéens déjà pénalisés par plusieurs jours de grève désertent les salles de classe pour aller battre le pavé.
    L’heure devrait être à la sérénité à l’approche des examens.
    Le secteur, qui a connu un premier mouvement de grève en octobre puis un second qui vient tout juste de connaître son dénouement, n’avait certainement pas besoin d’une autre crise.
    Le ministère de l’Education ne pouvait cependant éviter cette énième polémique au sujet du «seuil» exigé par les élèves de terminale qui veulent, comme ceux des cuvées précédentes, connaître d’avance le seuil des cours pris en compte dans la confection des sujets d’examens.
    Cette bizarrerie instaurée en règle sous Benbouzid est pointée du doigt par les pédagogues. Baba Ahmed lui-même dit y être opposé. Reste à savoir s’il aura le courage politique de la supprimer au risque de faire face à un grand mécontentement des lycéens habitués aux solutions de facilité.
    N. I.

     


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  • Actualités : Ils réclament encore une fois le «seuil»

    Les lycéens dans la rue

    Après les enseignants, c’est au tour des élèves des classes de terminale de manifester leur colère. Ils étaient nombreux hier à se rassembler pour le deuxième jour consécutif à quelques mètres de l’annexe du ministère de l’Education. Ils exigent des garanties quant à la tenue du baccalauréat selon le calendrier établi, et disent ne pas vouloir sacrifier vacances et jours de repos. Ils remettent sur la table la question du «seuil» des cours à réviser. Le ministère de l’Education rassure. Nawal Imès - Alger (Le Soir) Ils étaient nombreux les lycéens rassemblées à quelques encablures de l’annexe du ministère de l’Education à Ruisseau. Les élèves de terminale des lycées de Garidi, de Aïn Naâdja, de Staouéli et de Bab Ezzouar se sont donné rendez-vous pour le second jour consécutif pour manifester leurs inquiétudes. Unanimes, ils se disent contre le sacrifice des vacances de printemps, des samedis et des mardis après-midi pour le rattrapage des cours perdus pendant la durée de la grève. Ils réclament dans la foulée le fameux seuil des cours introduit sous Benbouzid. Les lycéens rencontrés hier affirment vouloir bénéficier comme les candidats au baccalauréat des années précédentes du seuil jugé pourtant anti-pédagogique par les enseignants et même par le ministre de l’Education. Pourtant, les lycéens ne veulent pas entendre raison. Ils se disent victimes des mouvements de grève à répétition et ne veulent pas en payer les conséquences. Ils pointent un doigt accusateur en direction de leurs enseignants qu’ils soupçonnent de vouloir terminer le programme rapidement sans prendre le temps de leur expliquer le contenu. Ils considèrent également que la première semaine de vacances devrait être mise à profit pour des révisions et non pas pour dispenser des cours. La majorité des lycéens rencontrés hier semblaient ignorer que la date de l’examen avait déjà été fixée. Face à l’inquiétude des élèves, le ministère de l’Education a réagi via un communiqué dans lequel il tente de rassurer la communauté éducative, en particulier les élèves des classes d’examen. Le département de Baba Ahmed dit comprendre l’inquiétude des élèves mais assure qu’il avait déjà entrepris une première évaluation de la situation et que les inspecteurs chargés de cette mission avaient conclu que «la situation était maîtrisable». Pour tranquilliser les élèves, le ministère assure qu’au regard de la spécificité de chaque établissement scolaire, un traitement au cas par cas sera privilégié pour le rattrapage des cours. Les délégués des classes ainsi que les parents d’élèves pourront être associés à la prise de décision. Le ministère est formel : les dates des vacances et des examens de fin de cycle sont officiellement maintenues. Celles des compositions seront laissées à l’appréciation des enseignants. Il a tenu également à rappeler que les sujets d’examens ne porteront que sur les cours effectivement dispensés. Des assurances qui pour le moment n’ont pas porté leurs fruits. Les lycéens continuaient hier de relayer des informations sur les réseaux sociaux au sujet de la poursuite de leur mouvement de protestation. N. I. Les lycéens en ébullition à Béjaïa Les lycées sont en ébullition depuis dimanche dernier dans la wilaya de Béjaïa où les apprenants ont décidé d’investir le front de la contestation pour crier leur colère contre les mesures prises par le département de Baba Ahmed, liées au rattrapage des cours suite au mouvement de grève de plusieurs jours des enseignants. Des décisions qui n’ont pas été du goût des élèves. Les apprenants sont contraints à un véritable marathon pour rattraper «le temps perdu». Les lycéens, notamment les candidats à l’examen du baccalauréat, réclament le maintien des vacances de printemps et l’allégement des programmes. Hier encore, l’heure était au débrayage. Plusieurs établissements scolaires du secondaire à travers la wilaya, ont été totalement paralysés. C’est le cas, entre autres, des lycées de Sidi-Aïch. Les élèves menacent de recourir à une grève illimitée pour se faire entendre. Au niveau du chef-lieu de wilaya, des lycéens sont sortis dans la rue pour exiger la limitation des programmes concernant l’examen du baccalauréat. «Les programmes sont trop chargés. Déjà avec une scolarité normale, il sera impossible pour nous de le terminer à temps, encore moins de parvenir à l’assimiler. C’est une injustice. Le ministère doit revoir les programmes et fixer un seuil pour nous permettre de préparer sereinement notre examen», se plaignent des lycéens. A. K.


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  • Amaynut di tira

    “L’aménagement du lexique berbère de 1945 à nos jours” n Ramdane Achab

    Atan wayen d-tenna Tiddukla Tadelsant Imedyazen ɣef “l’aménagement du lexique berbère.- de 1945 à nos jours”, n Ramdane Achab : “Wid iḥemmlen amawal, yettnadin deg tmaziɣt ladɣa deg taɣult n wawalen, d agerruj ara walin deg wedlis-a. Deg tazwara, adlis-a yella d turda n dduktura n Tmaziɣt n umusnaw Ramdane Achab. Tarrayin n usileɣ n wawalen s wudem ussnan deg-s ara tent-tafem. Yessenqed deg-s Mass Ramdane Achab isumar ed tarrayin tiqdimin ay yes-d-nebna ar ass-a awalen imaynuten n tmaziɣt. Adlis- a umi isemma " Aménagement du léxique berbère de 1945 à nos jours " ad yettuneḥsab seg wallalen igejdanen n usetrer n tmaziɣt. Ama d inelmaden n tmaziɣt, ama d iselmaden deg yal aswir ama d imnadiyen s umata deg wenrar n tutlayt, ta d talemmiẓt ifazen : ur tt-zegglet. Yettnuzu deg tmurt n Ldzayer. D tiẓrigin Editions Achab ay t-id-yessufɣen”

     
     

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  • Education : Ils exigent le seuil des cours concernés par les examens du BAC

    Des lycéens dans la rue à Alger…

    La protestation règne de nouveau dans le secteur de l’éducation. Cette fois, ce sont les élèves de terminale qui se sont rassemblés, dans la matinée d’hier, devant l’annexe du ministère de l’Education à Alger, pour exiger le seuil des cours à réviser pour l’examen du baccalauréat.

    En effet, suite à la grève des enseignants qui a duré près d’un mois, les élèves des classes terminales sont revenus à la charge, encore cette année, pour exiger le seuil des cours. Venant de différents établissements scolaires des localités de Kouba, Mohammadia et Belouizdad, une centaine d’élèves de la troisième année secondaire ont exprimé leur ras-le-bol quant aux retards occasionnés par la grève des enseignants, et le refus «catégorique» à tout report des vacances scolaires. «On n’est pas obligé d’assumer les conséquences de la grève des enseignants», ont martelé les protestataires. Ces derniers ont tenu à mettre l’accent, également, sur la surcharge des classes et du programme, «sachant que le deuxième et le troisième trimestre sont très courts, pour terminer le programme », ont-ils noté. Par ailleurs, le président de l’association des parents d’élèves de la wilaya d’Alger, Khaled Ahmed, a affirmé que son organisation n’a aucune relation avec cette action de protestation. «On n’a pas exigé le seuil des cours, puisque le ministère de l’Education a mis en place une commission de rattrapage des cours, qui va étudier le cas de chaque wilaya et chaque établissement scolaire», a-t-il dit. Notre interlocuteur a estimé que « les élèves sont manipulés, via les réseaux sociaux, par des gens qui n’ont rien à voir avec l’éducation. J’appelle nos élèves à rester dans leurs classes et à continuer leur cours». Il est utile de rappeler que la commission chargée des rattrapages des cours, qui a été mise en place par le département de Baba Ahmed, entamera sa mission au début de la semaine courante «pour dégager les meilleures méthodes des cours, en tenant compte de leur état d’avancement au niveau de chaque wilaya, voire chaque établissement, et faire en sorte que l’élève ne soit pas perturbé», a estimé, le ministère.

    Samira Saïdj

     

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  • DOCUMENTS RELATIFS A LA COOPERATIVE DES O.S

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  • النقابات تقول إن القضية بيد الوزير الأول
    “علقنا الإضراب ولم نوقفه”
    قضية المستخدمين الآيلين للزوال ترهن استقرار قطاع التربية

     وضعت نقابات التربية الوزيرَ الأول عبد المالك سلال أمام خيارها المتمثل في عودتها الممكنة جدا إلى الإضراب في صورة “مختلفة وقوية”، للفصل فيه بشكل نهائي عن طريق الاستجابة إلى المطالب التي ما تزال عالقة في أقرب الآجال. وأرجعت النقابات قرار العودة إلى الإضراب إلى “الآثار السلبية” التي خلفتها وزارة التربية بعدم التزامها بوعودها.

    أفاد مسؤول الإعلام في المجلس الوطني المستقل لأساتذة التعليم الثانوي والتقني “كناباست” مسعود بوديبة أمس لـ “الخبر”، أن العودة إلى الحركات الاحتجاجية وشل الدراسة ممكن جدا وغير مستبعد، مضيفا “نحن علقنا الإضراب، والتعليق مخالف للتوقيف، وهذه القضية يفصل فيها الوزير الأول لأنه هو المخوّل لمنح الضوء الأخضر لتلبية المطالب العالقة”.

    وأوضح المتحدث أن تعليق الإضراب يرجع إلى أن الالتزامات جاءت من أعلى المستويات، والمحاضر الموّقعة تثبت للرأي العام أنها أصبحت على عاتق الحكومة وليست على مستوى وزارة التربية فقط، مشيرا إلى أن “نقابتنا أثبتت للحكومة والوظيف العمومي شرعية مطالبهم التي أساءت الوصاية تسويقها والتعامل معها، وبيّنا أن طريقة اعتماد سياسة الرخص لا تعالج كافة المشاكل”.

    وربطت نقابة “كناباست” على لسان ناطقها الإعلامي العودة إلى الإضراب باستجابة الوزير الأول عبد المالك سلال إلى مطلب فئة الآيلين للزوال الذي رفع إليه شخصيا للفصل فيه، وقال بوديبة “بلغنا من الوزارة الأولى أن سلال سيفصل فيه نهائيا، ويوجه رسالة إلى وزير التربية لمباشرة التطبيق الميداني، لذلك فالعودة إلى الاحتجاج ممكنة جدا وبطريقة خطيرة”.

    من جانبه، وجّه رئيس الاتحاد الوطني لعمال التربية والتكوين “أنباف” صادق دزيري في تصريح لـ«الخبر”، رسالة إلى الحكومة مفادها “قد أعذر من أنذر، والمحافظة على استقرار قطاع التربية بيد الوزير الأول من أجل إنهاء قضية 63 آلف عامل آيل للزوال”.

    وكشف المتحدث أن الآيلين للزوال تعتبر القضية الرئيسية لنقابة “أنباف” ورفعت إلى وزير القطاع عبد اللطيف بابا احمد مباشرة بعد تسلمه الوزارة في 2012، مشيرا إلى أنها لا تقتصر على فئة المعلمين والأساتذة، “بل تتعداها إلى الأساتذة التقنيين والمساعدين التربويين والمخبريين ومسشاري التوجيه المدرسي ومساعدي المصالح الاقتصادية”.

    والإشكال الذي ما يزال مطروحا، حسب الصادق دزيري، هو مسألة المعلمين والأساتذة الذين تكونوا بعد 3 جوان 2012 وبقوا قيد التكوين وعددهم يفوق 63 ألف مستخدم، مضيفا أن الوظيف العمومي رفض منحهم الرتبة المستحدثة (تحتسب الخبرة المهنية) وقرار إبقائهم في الرتب القاعدية (تحتسب التكوين فقط). وقال رئيس “أنباف” إنه لا يوجد صراحة نص قانوني لمنحهم هذه الصفة، “لذلك نطالب بقرار سياسي من الوزير الأول مشابه لقرار رئيس الجمهورية سنة 2011 الذي أمر بإدماج المعلمين والأساتذة”.

    وربط المتحدث هذه القضية بالعودة إلى إضراب المدارس، مضيفا “ستكون احتجاجات قوية وتفوق الإضراب، وقد بدأت التحركات من طرف الخاضعين للتكوين بالتظاهر أمام مديريات التربية”.

     

     


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  • قدمت أبحاثا مهمة عن الجزائر وكانت صديقة
    نقل رفات المناضلة جرمان تيليون إلى “البونتيون”

      أعلن الرئيس الفرنسي،  فرانسوا هولاند، عن قرار نقل رفات أربعة من أكبر المقاومين الفرنسيين إلى مقبرة “البونتيون” بباريس، حيث تدفن أشهر الشخصيات التي أثرت في التاريخ الفرنسي، من بينهم جرمان تيليون (من مواليد 30 ماي 1907).

     تعتبر جرمان تيليون إحدى المدافعات عن الشعب الجزائري أثناء الحقبة الاستعمارية حيث عايشت فظاعة الاستعمار الفرنسي، من خلال شهاداتها وكتبها، وهي صديقة الشعب الجزائري، حيث قدمت بحوثا ودراسات عنه، خاصة عندما انتقلت إلى الأوراس الجزائري سنوات الثلاثينيات، من أجل بحث اجتماعي حول السكان، وألفت في هذا الشأن كتابها “الإثنيات في الأوراس”، تحدثت فيه عن الظروف القاسية التي يعيشها السكان “الأهالي” والطريقة العنيفة التي تم من خلالها نقلهم من النظام الريفي إلى المدني بسبب مصادرة أراضيهم، وتعلمت خلالها اللغة الأمازيغية. غادرت جرمان تيليون الجزائر سنوات عديدة، حيث سافرت إلى أوروبا وأمريكا من أجل أبحاثها ودراساتها، لتعود إليها بطلب من وزير الداخلية فرنسوا ميتران سنة 1954 من أجل مهمة رسمية وهو إعداد تقرير مفصل عن سكان الأوراس وحياتهم. عملت بعدها تحت قيادة محافظ الجزائر، جاك سوستال، سنوات معركة الجزائر، حيث كلفت بإقامة المراكز الاجتماعية، التقت خلالها سريا بياسف سعدي، مسؤول المنطقة الحرة بالجزائر، وأجرت معه حوارا، وخرجت بورقة تدعو فيها إلى السلام، ووقفت إلى جانبه ودعت إلى محاكمة عادلة عند القبض عليه.
    نددت الباحثة، طيلة السنوات التي عاشتها في الجزائر، بالتعذيب والقتل العشوائي والمحتشدات والمعتقلات ودافعت عن الكثيرين من أجل محاكمة عادلة وأنقذت عددا كبيرا من الجزائريين من الحكم عليهم بالإعدام وقدمت كشهادة عن هذه السنوات كتابها “في الجزائر في الحرب”. التزمت بعدها الصمت لسنوات عديدة، لتقدم، منذ سنوات، شهادتها عن حياتها في الجزائر. قالت في تصريحاتها حول الجزائر، خاصة بحثها في منطقة الأوراس، “إن عملي كأنتروبولوجية يشبه عمل المحامين، فقط الاختلاف أن المحامي يدافع عن شخص وأنا أدافع عن شعب”. وكتبت في رسالة إلى المناضلة سيمون دوبوفوار “يظهر أني عرفت الشعب الجزائري ويظهر أني أحببته ورأيت بأم عيني معاناته التي تركت بي جراحا. ويظهر أن ارتباطي بوطني أيضا قد تعزز بسبب شغفي به.. فلم أقطع صلتي بالعدالة من أجل حب فرنسا ولم أقطع صلتي بفرنسا من أجل حب العدالة..” (رسالة مفتوحة إلى سيمون دوبوفوار.. 1964 في البحث عن الحق والعدل).   
     

     


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  •  RETOUR À LA NORMALE DANS L’ÉDUCATION

    Cap sur le rattrapage des cours perdus

    Ni report des examens ni des vacances de printemps. Le ministère de l’Education temporise. Pour dégager les meilleurs moyens de rattraper les cours perdus pendant la grève, une commission a été chargée d’évaluer l’ampleur du retard. Les syndicats rassurent : il est tout à fait possible de préparer les élèves pour les examens de fin d’année. Après une grève de quatre semaines, le challenge est de terminer le programme dans les temps impartis.

    Nawal Imès - Alger (Le Soir)

    - Elèves et enseignants des trois paliers reprennent demain matin le chemin des écoles. Après quatre semaines de débrayage, le rattrapage des cours perdus est une priorité. Le ministère de l’Education a installé jeudi une commission qui aura pour mission de définir les meilleures méthodes pour rattraper les cours. Dès demain, elle sera sur le terrain pour faire l’évaluation de l’état d’avancement des cours dans les différentes wilayas et dans les nombreux établissements touchés par la grève. Ce n’est qu’une fois son travail achevé qu’une circulaire sera élaborée sur la base de ses recommandations et transmise à l'ensemble des Directions de l'éducation pour application. Ladite commission constatera certainement que dans une même wilaya, le taux d’avancement des cours est différent en fonction du taux de suivi de la grève. Dans un même établissement, certains enseignants ont suivi le mouvement pendant les premiers jours avant de rejoindre leurs postes de travail. D’autres au contraire n’avaient dans un premier temps pas répondu à l’appel de leur syndicat avant de rejoindre le mouvement quelques jours après le début de la grève. La commission installée par le département de Baba Ahmed devra trouver alors un compromis pour ne pas léser les élèves ayant le plus subi les conséquences du débrayage. Le ministre de l’Education avait laissé entendre que son département pouvait envisager le report des examens avant qu’il n’abandonne cette option. Le chargé de la communication du ministère de l’Education affirme dans une déclaration à Algérie presse services que «le report des compositions du deuxième trimestre et des vacances de printemps suite à la grève n'est pas, jusqu'ici, à l'ordre du jour». Faycal Haffaf explique en effet qu’il n’existait pas «d'arguments pédagogiques» plaidant en faveur du report des examens puisque, dit-il, les programmes pédagogiques sont élaborés de manière «flexible» et permettaient de récupérer les cours pouvant être perdus «pour des raisons imprévues ». La commission chargée du suivi des programmes d'enseignement et de l'évolution de leur exécution fera comme chaque année un bilan des cours dispensés, ce qui sert d’indicateur non négligeable pour la confection des sujets d’examens. L’inquiétude des élèves des classes d’examens est d’ailleurs plus grande que celle des autres élèves. Les syndicats, pour leur part, se veulent rassurant. Ils affirment qu’en exploitant les heures creuses et la première semaine des vacances de printemps, le retard peut être rattrapé. En 2003, la grève dans le secteur avait duré sept semaines. Les dates des examens n’avaient néanmoins subi aucune modification. N. I.


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  • Football


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  • COMMUNIQUE UNPEF/ FEV 2014


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  • CONVENTIONS RECONDUITES OU EN COURS


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  • Les Amazigh boycottent l’élection de l'Assemblée constituante libyenne

      Les Amazighs ont décrété ce jour d’élection comme "Ass n Tikerkas", jour de mensonges.

    La future constitution libyenne risque d'être écrite sans les Amazighs qui boycottent l'élection. La future constitution libyenne risque d'être écrite sans les Amazighs qui boycottent l'élection. C'est aujourd'hui jeudi que se déroule l'élection de l'Assemblée constituante libyenne. Celle-ci, normalement formée de 60 membres, rédigera la constitution avant qu’elle soit soumise à une ratification par référendum d'ici cet été. Chacune des 3 régions; la Tripolitaine, Cyrénaïque et Fezzan, est représentée par 20 membres. Les composantes Amazighs (constituant l’essentiel de la Tripolitaine), les Tebous (les noirs Libyens à l’est de Fezzan), et les Touaregs, passés habilement par les décideurs arabistes pour des non Amazighs dans l’optique de diviser pour régner sachant qu’ils sont des Amazighs de Tiniri (Ouest de Fezzan), seront chacune représentée par deux membres. Un tel quota est considéré comme un mépris flagrant par les 3 composantes en question. Cependant les Amazighs ont décidé de retirer leurs deux membres puisqu’ils exigent des assurances préalables quant à l'inscription de leurs droits dans la constitution. A rappeler que l’élection d’aujourd’hui était annoncée pour novembre 2013, ensuite repoussée à cause justement du mécontentement des Amazighs et du retrait de leurs membres du CGN, le congrès général national ou l’Agraw Aghelnaw Amatu. Pour les élections d’aujourd’hui seuls 1,7 million de Libyens se sont enregistrés contre plus de 2,8 millions pour l'élection du Congrès général national en juillet 2012. Soit une chute de 40% essentiellement des Amazighs (Tripolitaine), Tebous et Touaregs (Fezzan). Les observateurs ne comprennent pas comment le congrès général national s’entête à organiser une telle élection, 3 années après la chute du dictateur Kadhafi, alors que les acteurs principaux de son effondrement, à savoir les Amazighs, ont décidé de boycotter ce jour qu’ils considèrent noir, et que l’institution légitime qui les représente, le Conseil Suprême pour la Amazighs de Libye, décrète comme jour des mensonges (Ass n Tikerkas).

    Voici la déclaration que vient de communiquer telle instance : Conseil Suprême pour la Amazighs de Libye: "Azul Fell-awen, Paix, la miséricorde et les bénédictions de Dieu, Nous, le Conseil Suprême des Amazighs de Libye (CSAL), prenons acte aujourd'hui en cette période difficile de l'histoire de la nation Libyenne, et nous marquons une pause pleine de tristesse et caractéristique d’une grande déception dans ce qu'on appelle le système démocratique dans cette phase de transition. Nous annonçons la persévérance dans notre désobéissance et notre abstention à participer à l'élection de la Commission 58 (soit 60 moins les 2 représentants accordés aux Amazighs qui ont boycottés ladite commission constitutionnelle). Nous confirmons que ce qui a été annoncé par le Congrès Général National sur l'adoption de la loi présumée du consensus, n'est qu’une version déformée et incomplète de la proposition présentée par les Amazighs de Libye. Même si nous remercions et apprécions les efforts d'un groupe de patriotes (sous-entendu non Amazighophones) qui ont soutenu ce droit démocratique, mais nous soulignons l'incapacité du CNG à adopter le principe du consensus et d'essayer de nous entraîner à construire une constitution qui détient les pré-signes d'une dictature de la majorité. Ce qui entraine le pays vers un véritable échec dans la construction d'une nation qui inclut toutes les composantes du peuple. Par conséquent, nous déclarons ce qui suit: 1- Que le 20 Février 2014 sera marqué par les Amazighs comme un jour noir dans l'histoire de la Libye, et qu'il serait un jour officielle de deuil dans les régions parlant Tamazight ou les drapeaux et les bannières seront descendus, et que ce jour sera baptisé ASS N TIKERKAS (Jour des mensonges). 2– Faisant suite à notre annonce précédente lors du forum sur le droit constitutionnel des Amazighs de Libye (pour rappel tenu le jour de Yennayer, 13 janvier 2013, au siège du Congrès Général National devant de nombreuses délégations nationales et étrangères, ambassadeurs et ONG internationales), nous soulignons la non reconnaissance de la prochaine constitution, qui émanera de la Commission des 58 membres, en suivant le slogan : Nous ne reconnaîtrons pas ceux qui ne nous reconnaissent pas. 3- Nous appelons les citoyens Amazighs à sortir et à manifester pacifiquement contre ces fausses élections qui ignorent leur présence même dans ce pays. 4- Nous déclarons que ce jour noir sera le début de fracture politique et sociale et qu'il serait un tournant dans les mécanismes d'action politique amazigh, où le rejet clair des Amazighs en tant que véritable partenaire ou une partie essentielle de parties de la nation, nous impose le début dans le traitement des autres selon le principe de la réciprocité. 5– Nous annonçons l'adoption du Conseil Suprême des Amazighs de Libye du projet d’un Parlement Amazigh des régions parlant Tamazight, où il sera un héritier légitime et élu du Conseil Suprême dans l'étape suivante. Ceci dit, nous réitérons la réalité de notre douleur et notre déception du fait de nous ignorer par un des spectres du peuple libyen et l'entrée précipitée de beaucoup d’entre eux dans ces fausses élections qui ne donnent naissance qu'à des projets déformés qui ne seront pas en mesure d’assurer la vie et la continuité. Nous ajoutons que ce que nous annoncions ne sont que des étapes initiales, où nous croyons que toutes les options sont en face de nous, et que dans le cas de poursuite de la répression politique et de rejet, nous utiliserons notre droit garanti par toutes les lois légitimes qui nous assurent un destin politique ou seront protégés nos droits. Et Dieu sauve la Libye..." Traduction de l’arabe par Racid At Ali Uqasi


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  • COMMUNIQUE / CNAPESTE

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  • Actualités : La grève s’est poursuivie hier dans le palier du secondaire Le Cnapest et le Snapest trancheront ce week-end

    Les dernières tractations syndicats- Fonction publique prendront fin aujourd’hui. Le Snapest fermera la marche de ce round de négociations après l’Unpef et le Cnapest. Si l’Unpef a décidé de mettre un terme à son mouvement de grève, le Snapest et le Cnapest poursuivaient hier leur grève. Le Cnapest consultait hier soir sa base. Le Snapest était en attente des résultats de sa rencontre avec les représentants de la Fonction publique. Nawal Imès - Alger (Le Soir) Les enseignants du palier secondaire étaient hier toujours en grève. Le Snapest et le Cnapest n’avaient toujours pas suspendu leur mouvement de protestation. Le Snapest qui avait été reçu mardi devait être également reçu hier au niveau de la Fonction publique. Une rencontre reportée à aujourd’hui en raison de l’indisponibilité du ministre chargé de la Réforme publique en déplacement à Aïn Defla. Le Snapest profitera certainement du week-end pour évaluer les résultats de ces rencontres. Le Cnapest pour sa part tenait hier son conseil national en soirée. Dans la matinée, les adhérents du Cnapest tenaient des assemblées générales au niveau des wilayas et des conseils de wilayas avant la tenue du conseil national qui devait statuer sur le contenu du procès-verbal signé avec la Fonction publique. Le Cnapest a mis sur la table des négociations la revendication relative à l’intégration des professeurs de l’enseignement technique au même niveau que les enseignants du palier secondaire sans conditions et celle inhérente aux dérogations permettant aux enseignants du cycle primaire de bénéficier des années d’expérience leur ouvrant droit à une meilleure classification. La Fonction publique a répondu que cette revendication ne pouvait être prise en charge que dans un cadre globale nécessitant un recensement de l’ensemble des catégories de la Fonction publique concernées. C’est le Premier ministre qui devra finalement trancher à ce sujet. Le Cnapest a également soulevé la question de concrétisation des nombreux points ayant déjà fait l’objet de procès-verbaux avec la tutelle. Le bureau national du Cnapest exposera le contenu de ce procès-verbal dans le détail avant de trancher sur l’avenir du mouvement de protestation. N. I.


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  • Régions : Le Soir du Centre
    Tizi-Ouzou
    L’hôpital cardio-pédiatrique de Draâ-Ben-Khedda officiellement inauguré



    Abdelmalek Boudiaf, ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière a procédé dans la journée d’hier à l’inauguration officielle de l’hôpital spécialisé en chirurgie cardio-pédiatrique.
    Baptisé (commémoration de la Journée du Chahid oblige) au nom de Yacef Omar, alias Petit Omar dont la mort en martyr à l’âge de 13 ans en compagnie de Hassiba Ben Bouali et Ali La Pointe durant les événements de la Bataille d’Alger a été rendue célèbre par le film éponyme, cet établissement qui est situé à
    Draâ-Ben-Khedda, à une dizaine de kilomètres à l’ouest de Tizi-Ouzou
    est doté d’équipements de dernière génération qui le rehaussent
    aux standards internationaux. 
    Outre les plateaux techniques, blocs opératoires, équipement de radiologie et d’imagerie médicale, et autres salles de soins et laboratoires, l’établissement dispose d’un auditorium de 320 places destiné à la formation hospitalo-universitaire.
    Il s’agit d’une structure de caractère national dont la capacité d’accueil est de 80 lits.
    Elle se chargera dans un premier temps de prendre en charge les pathologies et malformations cardiaques aussi bien de l’adulte que des enfants pour finir progressivement par se spécialiser dans le traitement des pathologies cardiopédiatriques, selon le Pr Bourzag, spécialiste en charge du service de cardiologie à la clinique Les Castors d’Alger.
    Une projection vidéo d’une intervention chirurgicale effectuée la veille a été diffusée à l’intention du ministre et de ses accompagnateurs.
    Des opérations chirurgicales, trois, lundi dernier et trois autres au courant de la journée d’hier mardi, ont été effectuées par l’équipe du
    Pr Bourzag qui a également supervisé la formation des personnels paramédical et médical affectés à cet établissement.
    Cap sur la modernisation du secteur
    Répondant aux questions des journalistes, Abdelmalek Boudiaf évoquera quelques axes de la stratégie de modernisation du secteur, annonçant qu’à l’occasion, qu’un bâtiment numérique sera érigé au niveau du site du ministère de la Santé. Il s’agira d’une banque de données entièrement numérisée qui permettra le suivi en amont et en aval de l’ensemble de l’activité hospitalière nationale, dans tous ses segments, allant même jusqu’à l’interconnexion des hôpitaux.
    L’automatisation de l’activité du secteur de la santé n’est qu’un jalon dans la stratégie de modernisation et de la réforme annoncée du secteur, selon A. Boudiaf qui annonce la tenue en mars ou au mois d’avril prochain des assises nationales de la santé. Le partenariat entre les secteurs public et privé a été abordé par le ministre qui insiste sur la cohérence et la continuité de services qui doit être assurée grâce à l’interaction des deux secteurs.
    Une réunion de concertation avec les patrons de cliniques privées qui envisagent de créer des hôpitaux au niveau national est programmée pour la semaine annoncera le ministre qui a minimisé les dégâts causés par l’incendie qui a touché l’hôpital de In Amenas dans la soirée de lundi dernier.
    S. A. M.

     

     


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  • Actualités : Prise en charge des cancéreux en radiothérapie
    L’Algérie doit disposer de 40 appareils pour être aux normes


    Selon le ministre de la Santé, les délais d’attente pour les rendez-vous des séances de radiothérapie seront réduits à deux semaines à partir du mois de juin prochain. Or, selon des spécialistes, ceci est «impossible». L’Algérie qui dispose actuellement de 19 appareils de radiothérapie est loin des normes internationales qui recommandent un appareil pour une population entre 600 000 à 1 million d’habitants.

    Salima Akkouche - Alger (Le Soir)
    Hier matin, la salle d’attente du service de radiothérapie du CPMC, Alger, est pleine de malades qui attendent leur tour. Ils sont venus, disent-ils, la peur au ventre d’être refoulés pour une deuxième journée.
    «Avant-hier, (dimanche ndlr), les manipulateurs ont observé une journée de protestation, hier, la machine est tombée en panne, et aujourd’hui, seule une machine fonctionne. J’ai déposé mon carton bleu depuis 7h et j’attends mon rendez-vous de 13h en espérant qu’on m’appelle pour faire ma séance de radiothérapie», raconte une dame qui dit souffrir d’un cancer de la mâchoire et qui est à sa 20e séance. Un malade se retourne vers la dame et l’assure que les machines fonctionnent. Ce dernier dit avoir fait sa séance la veille aux environs de 19h. Là où le bât blesse pour les malades cancéreux c’est d’obtenir un rendez-vous pour une radiothérapie.
    Le service du CPMC souffre de la surcharge et les appareils fonctionnent au-delà de leurs capacités. Ce service prend en charge 140 malades par jour et n’arrive toujours pas à réduire les listes d’attente. «Nous travaillions de 7h du matin jusqu’à 19h et depuis l’arrivée de la nouvelle chef de service, Pr Oukrif, elle a décidé de rajouter une nouvelle brigade de 19 h à minuit. Nous prenons en charge 50 malades de plus et nous avons réussi à réduire les rendez-vous du traitement de six mois à 2 semaines», a souligné M. Bouakkaz, manipulateur.
    Mais malgré les efforts du personnel et sa volonté de bien faire, le service est au bord de l’explosion et les rendez-vous s’étendent sur plusieurs mois voire des années pour certains types de cancers notamment celui du sein. Le problème ? Le manque du centre anticancer. A quand la fin de ce cauchemar pour des milliers de malades ? Abdelmalek Boudiaf, ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière s’attend à réduire les délais des rendez-vous des séances de radiothérapie à deux semaines d’ici le mois de juin prochain. Illusion ? Tout pense à le croire. Le professeur Mahioum Amokrane du service de radiothérapie du CPMC est catégorique : «Réduire les délais de rendez-vous à deux semaines d’ici le mois de juin, même avec l’ouverture de nouveaux centres, est impossible, je défie quiconque».
    Selon ce professeur, les chiffres parlent d’eux-mêmes. L’Algérie enregistre 48 000 nouveaux cas de cancer annuellement. 70% d’entre eux nécessitent une radiothérapie. Selon l’Agence AIEA, les normes sont un appareil pour 600 000 à 1 million d’habitants.
    L’Algérie pour qu’elle soit aux normes doit disposer de 40 machines de radiothérapie. Or, le nombre de machines de radiothérapies fonctionnelles sur le territoire national est de 19 entre les services publics et privés. Ainsi le CPMC dispose de 3 machines, Aïn Naâdja 2, Blida 3 et 2 du secteur privé, Ouargla 2, Constantine 1 et 2 du secteur privé, Oran 1, Messerghine 2 sur 3 machines fonctionnent. 6 autres centres anti-cancer dans les wilayas de Annaba, Tizi-Ouzou, Tlemcen, Sétif, Batna et Sidi-Bel-Abbès devront être opérationnels au cours de ce premier trimestre.
    Le professeur Mahioum est cependant, pessimiste. Selon lui, seulement deux centres, Sétif et Batna, ont la chance d’être réceptionnés d’ici le mois de juin. Le reste le sera probablement en 2015.
    La solution ? Ce professeur propose trois options à savoir, le transfert de ces malades à l’étranger, établir des conventions avec le privé ou équiper rapidement les services qui sont en attente depuis plusieurs années.
    S. A.


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  • أساليب التهديد والوعيد لم تسفر سوى على استمرار الإضراب لـ 4 أسابيع.. بابـــا احمـــد لـــم يتعــلم درس بـــن بوزيـــد      
     

     

    اشتدت الأزمة الحالية بين وزارة التربية الوطنية والنقابات المضربة، وهذا بدخول الإضراب أسبوعه الرابع على التوالي، على الرغم من أسلوب التهديد الذي لجأ إليه الوزير بابا أحمد من أجل كسر شوكة المضربين، منتهجا نفس أسلوب الوزير السابق بو بكر بن بوزيد، لكن في كل مرة النقابات تعلن العصيان وتتمسك بالمواصلة، مما يستدعي تدخل الحكومة من أجل انقاذ الوضع على غرار ما حدث مع الوزير السابق بن بوزيد.

     

     

    اتخذ إضراب نقابات التربية الثلاثة منعرجا خطيرا بدخوله الأسبوع الرابع على التوالي، حيث وجد وزير التربية الوطنية عبد اللطيف بابا أحمد نفسه أمام مشكل كبير لاحتواء غضب الأساتذة والمعلمين، ولعل سبب غضب هؤلاء هوأسلوب تعامل بابا أحمد مع النقابات، فبعد أن أخل بالتزاماته مع النقابات والموقعة في محاضر اجتماع موقعة شهري اكتوبر ونوفمبر الماضيين، هددت النقابات نهاية شهر ديسمبر المنصرم الدخول في إضراب إلا أن مساعي الوزير بابا احمد باءت بالفشل، بعد ان اكدت النقابات أن اجابات الوزارة ما هي إلا وعود ولن تفي بها، ونفذت بعدها النقابات الاضراب بداية من 25 جانفي الجاري، ولم يحرك بابا احمد ساكنا بعدها لمحاولة فتح الحوار مع النقابات، بل كانت مصالحه تقوم بتقديم نسب الاستجابة للإضراب، وكذا تؤكد عبر الصحف الوطنية أن أبواب الحوار مفتوحة، كما اعتمد الوزير في هذه المرحلة الحساسة من السنة الدراسية على اللجوء إلى العدالة والتي اقرت بعدم شرعية الاضراب، وبعد رفض النقابات الامتثال لهذا القرار أصبح الوزير يهدد المضربين بالفصل النهائي من المنصب، وهو الامر الذي أجّج غضب المضربين، وارتفعت نسبة الإضراب بعد ذلك استدعى على اثرها تدخل  الوزير الأول عبد المالك سلال وأمر باستئناف الحوار مع المضربين إلا أن بابا احمد فتحه مع النقابات الفاعلة جميعا وليس مع النقابات المضربة، وهذا من أجل تقديم حصيلة حول ما تم تحقيقه من مطالب بمشاركة الوظيف العمومي، وقد توج اللقاء الاخير بالفشل، وإصرار النقابات على مواصلة”إضراب الكرامة” كما اسمته بعد أن أكدت ان المربي والنقابي أهين كثيرا، وبهذه الاساليب التي ينتهجها بابا أحمد لكسر شوكة المضربين وإرغامهم للعودة الى العمل زاد إصرار المضربين، وهو نفس الامر الذي انتهجه زميله الوزير السابق بو بكر بن بوزيد الذي حاول في مرة يدخل فيها المربين في إضراب “تركيع” المضربين، لكن في كل مرة كان يثبت فشله في ذلك، خاصة وأن النقابات تتصدى في كل مرة لهذه التهديدات وتتحدى عقوبات الوصاية، مما استدعى من وزير الحكومة الأسبق أحمد اويحيى التدخل شخصيا لحل المشكل، وهذا ما يجعلنا نتساءل: من سيتدخل هذه المرة وينقذ بابا أحمد لحل مشكل الإضراب وإخماد غضب النقابات ؟.

    صارة ضويفي

     


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  • GREVE CNAPESTE

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  • CEM A S-B-A 0U SERONT HEBERGES DES ENFANTS DE T-OUZOU  PENDANT LEUR SEJOUR DE PRINTEMPS  2014.

    PHOTOS DE L'INTERIEUR D'UN COLLEGE DATANT DE L'ERE COLONIALE, A S-B-ABBES

    PHOTOS DE L'INTERIEUR D'UN COLLEGE DATANT DE L'ERE COLONIALE, A S-B-ABBES

    PHOTOS DE L'INTERIEUR D'UN COLLEGE DATANT DE L'ERE COLONIALE, A S-B-ABBES

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  • QUELQUES VUES DU CENTRE DE REPOS DES O.S DE L'EDUCATION DE S-B- ABBES

    QUELQUES VUES DU CENTRE DE REPOS DES O.S DE L'EDUCATION DE S-B- ABBES

    QUELQUES VUES DU CENTRE DE REPOS DES O.S DE L'EDUCATION DE S-B- ABBES

    QUELQUES VUES DU CENTRE DE REPOS DES O.S DE L'EDUCATION DE S-B- ABBES

    QUELQUES VUES DU CENTRE DE REPOS DES O.S DE L'EDUCATION DE S-B- ABBES

    QUELQUES VUES DU CENTRE DE REPOS DES O.S DE L'EDUCATION DE S-B- ABBES

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    QUELQUES VUES DU CENTRE DE REPOS DES O.S DE L'EDUCATION DE S-B- ABBES

    QUELQUES VUES DU CENTRE DE REPOS DES O.S DE L'EDUCATION DE S-B- ABBES


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