• شلل في الثانويات واستجابة محتشمة في الابتدائيات والمتوسطات 

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  • Actualités : Le Cnapest maintient son mot d’ordre Les lycées en grève à partir d’aujourd’hui

    Pas d’offre de dialogue «sérieuse» de la part de la tutelle. A la veille de la grève à laquelle a appelé le Cnapest, le ministère de l’Education a convoqué l’ensemble des syndicats agréés pour une réunion. Le Cnapest y voit une tentative de casser l’élan de la grève.
    Nawal Imès - Alger (Le Soir) Le mot d’ordre de grève lancé par le Cnapest est toujours d’actualité. A la veille du débrayage, le syndicat n’avait reçu aucune invitation au dialogue. Messaoud Boudiba, porte-parole du syndicat autonome, expliquait hier que la tutelle avait lancé dans la précipitation des invitations à l’ensemble des syndicats pour une réunion qui devait se tenir à 14 heures. A l’ordre du jour, une séance d’explication des différents procès-verbaux établis avec chacun des syndicats. «Du non-sérieux !» commente le parte-parole du Cnapest qui explique qu’à la veille de la grève, le plus urgent aurait été d’ouvrir les discussions autour des questions en suspens comme le dossier des syndicalistes suspendus injustement. «Une provocation», ajoute le porte-parole du Cnapest qui voit en l’initiative du département de Baba Ahmed une tentative de casser le mouvement. C’est dans cet esprit que le syndicat maintient la pression en appelant les professeurs à entamer dès aujourd’hui une grève d’un jour reconductible. La durée de ce débrayage dépendra de la réaction du ministère de l’Education, affirmait le coordonnateur national du Cnapest qui appelle à la réintégration d’un membre du conseil national licencié abusivement et faisant l’objet de poursuites judiciaires. Le syndicat insiste sur la régularisation des enseignants considérés «en voie d’extinction» en les intégrant aux grades prévus par le statut particulier en valorisant leurs années d’expérience. Il revendique également l’organisation de concours pour permettre aux enseignants d’accéder au grade d’enseignant principal et formateur. Le Cnapest appelle également à la mise en œuvre des dispositions relatives à la prime du Sud et à son calcul sur la base des nouveaux salaires avec un effet rétroactif à compter du 1er janvier 2008, à la réouverture du dossier des logements de fonction, de celui de la médecine du travail, celui des œuvres sociales, de la retraite après 25 ans de service. Dans un communiqué sanctionnant la réunion de samedi, le Cnapest appelle la tutelle à accélérer la mise en place de la commission gouvernementale chargée d’effectuer l’inventaire des biens et des avoirs des œuvres sociales et exige l’intégration des enseignants licenciés qui avaient réussi au concours de recrutement au cours de l’année 2012 et l’application du nouveau statut particulier de la corporation. Le préavis de grève du Cnapest avait été déposé le 29 septembre dernier et n’a suscité aucune réaction de la part de la tutelle. N. I.


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  • Actualités : Tizi-Ouzou
    Le ras-le-bol des corps communs et ouvriers professionnels de l’éducation

     

    Les corps communs et ouvriers professionnels de l’éducation crient leur ras-le-bol. Ils se sentent marginalisés au sein de la famille de l’éducation.
    C’est en tout cas, ce qui est dit dans un communiqué de presse du Conseil de wilaya de leur syndicat, le Snccpen, à l’issue de sa récente réunion au lycée Stambouli de Tizi-Ouzou. Partant du constat que la corporation qu’il représente, «vit une situation critique et que le gouvernement n’a aucune volonté de la prendre en charge», le Snccpen interpelle les pouvoirs publics à prendre en compte «nos revendications justes et légitimes».
    Il est demandé la suppression de l’article 87 bis de la loi 90/11 en vertu de laquelle une augmentation de 10% est octroyée à l’ensemble des travailleurs mais dans la réalité celle-ci (l’augmentation) est insignifiante. Le Snccpen qui demande que tous les syndicats soient traités sur un pied d’égalité, exige de la part de la tutelle une meilleure considération pour les personnels qu’il représente ainsi que le droit à la formation et à la promotion au même titre que les autres corps et la révision des horaires de travail au même titre que leurs collègues du secteur.
    S. A. M.

     

    Actualités : À PARTIR DE CE MARDI Les lycées en grève  

    Troisième semaine de reprise des cours et déjà une action de protestation. Elle est à l’initiative de la Coordination des professeurs techniques des lycées techniques qui revient à la charge pour exiger la réhabilitation d’un corps qui a souffert du démantèlement de l’enseignement technique du temps de Benbouzid.

    Nawal Imès - Alger (Le Soir) La Coordination des professeurs du technique revient à la charge. Elle appelle non seulement ses adhérents mais également l’ensemble des enseignants du secondaire à s’unir et à adhérer à l’action de protestation prévue mardi prochain en interrompant les cours pendant une heure entre 10 h et 11 h. Ladite coordination a lancé un appel à l’ensemble des syndicats du secteur leur demandant de se joindre à l’action pour soutenir leurs collègues de l’enseignement technique qui ont subi de plein fouet les conséquences du démantèlement de l’enseignement technique. Poursuivant son combat pour la réhabilitation des professeurs du technique, la coordination appelle à la régularisation de la situation des professeurs du technique en fonction des tâches qui leur sont confiées au sein des établissements scolaires, à la réhabilitation du certificat d’aptitude professionnelle et technique. Pour la coordination représentant les enseignants du technique, un même salaire doit être attribué à ces derniers puisqu’ils accomplissent les mêmes tâches que leurs collègues enseignants du secondaire. Après le démantèlement de l’enseignement technique, des professeurs se sont retrouvés à enseigner des matières n’ayant rien à voir avec leurs spécialités dans des lycées généralistes. Pire encore, certains se retrouvent à effectuer des tâches au niveau des laboratoires ou des bibliothèques. Le patrimoine des lycées techniques a également été dilapidé. Les magasins, ateliers et laboratoires techniques ont été fermés ou transformés en salles de cours, les équipes pédagogiques du technique ont été dissoutes alors qu’il avait fallu une dizaine d’années pour les constituer. Aujourd’hui, les enseignants du technique, les chefs de travaux et les chefs d’ateliers ont été dispersés à travers les lycées d’enseignements général. Une situation inacceptable pour la coordination qui les représente. N. I.  


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